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Chez Jean-Louis

Chez Jean-Louis

C’est une aventure qui nous est arrivée Thérèse, ma petite femme et moi ;nous fréquentions Jean-Louis et sa femme Mireille, une jolie nana d’une trentaine d’année, brun aux cheveux longs, assez grande de grands yeux marrons et une poitrine généreuse et ferme ;je l’avais tatée bien-sûr ;tandis que mon épouse est plutôt petite cheveux courts de grands yeux bleus des petits seins un peu tombants mais un gros fessier rebondi qui attire souvent les regards des hommes ;ils ont un jeune garçon d’une douzaine d’années, qui doit aller au lit de bonne heure le samedi soir,(ce qui le fait râler)car depuis un petit moment nous avons commencé à pratiqué l’échangisme ;il baise Thérèse et je baise Mireille.
Ça a commencé quand j’ai commis l’imprudence de lui montrer des photos de Thérèse toute nue dans des poses assez salaces ; du genre cuisses ouvertes accroupie genoux écartés ; enfin vous voyez le genre ;on avait un peu abusé du champagne et je me suis laissé aller.
Du coup il a commencé à me dire que les photos c’est bien mais qu’en nature ce serait mieux.
Bien sûr Mireille a approuvé, et je les ai laissés déshabiller ma femme qui poussait des petits cris de surprise et d’étonnement ; mais à ma grande surprise elle se laissa faire assez facilement et se retrouva entièrement nue devant nos amis.
Du coup fît Jean-Louis je vais la prendre en photo moi-aussi :et je le laissai photographier ma petite femme ;il ne se gêna pas pour lui faire prendre des poses encore plus érotiques que les miennes ;par exemple lui dit d’ouvrir son sexe avec ses doigts et même de les introduire sans son vagin ,et elle lui obéit sans discuter ,avec quand même le visage rouge ;il confia ensuite l’appareil à sa femme en s’approchant de mon épouse qui était allongée sur le lit , nue cuisses ouvertes et après l’avoir délicatement branlée, en lui chatouillant le bouton et lui mettant deux doigts ,il se pencha entre ses cuisse set se mit à lui brouter le minou ;j’étais sidéré, et très excité ;il ne perdit plus de temps et après avoir ouvert sa braguette et sorti son sexe raide et décalotté, plus gros que le mien, il enfila ma femme ;Mireille filmait ;elle posa l’appareil, s’approcha de moi ,sortit ma queue et se mit à me sucer ;ensuite ce fût mon tour de la baiser.
J’avoue que j’étais encore plus excité de voir ma femme se faire mettre que de baiser Mireille ;
Mais je lui mis quand même de bons coups , et j’éjaculais rapidement tandis que Jean-Louis continuait à baiser ma femme à grands coups de bite réguliers, j’eus le plaisir de l’entendre jouir bruyamment.
Je ne crois pas que j’ai réussi la même chose avec Mireille ; .
-qu’importe !
Ce fût le début de week-end excitants ; nos petites partouzes me remplissaient d’aise et je prenais beaucoup de plaisir à voir se faire déshabiller soit par Jean_-Louis soit par Mireille car il aimait bien voir sa femme foutre la mienne à poils comme il disait ;parfois il la faisait se dénuder elle-même suivant ses ordres ;enlèves ceci enlèves cela ;ou-bien déculottes-toi !elle obéissait ;prenait les poses qu’il lui ordonnait de prendre :tournes-tout penche toi en avant, écartes les jambes ;cambres-toi ;prend tes fesses dans les mains et écarte les, qu’on voit ton petit trou à merde !
Il aimait faire des photos ; soit avec son portable mais parfois avec un appareil plus professionnel ; ça fait de plus jolies photos ;ne t’inquiètes pas je développe moi –même m’avait il dit pour me rassurer ;mais seulement le noir et blanc, la couleur je ne sais pas.
Sauf qu’un jour : merde lance-t-il plus de pelloche en noir et blanc ; oh tant-pis je vais la prendre en couleur ; Philippe qui tient le magasin de photo est un copain ;ça ne posera pas de problème.
Mais il va voir les photos, je m’exclame un peu gêné !
Oh il est discret, ne t’en fait pas ; mais c’est sûr qu’il va mater Thérèse ;hihi il va sûrement en garder pour lui !
Mais on s’en fout !
Oh quand même je fais un peu dépité, mais à moitié excité de savoir qu’il va voir ma petite femme toute nue !
Tu vas lui faire prendre quelles poses ?
Oh j’ai envie que Mireille la prenne avec ma queue dans la bouche ;et aussi quand je lui mets, en gros plan ;je rougis.
J’irai les porter lundi ; tu pourras aller les chercher ?
Euh euh si tu veux ; tu vas voir il va étaler les photos sur le comptoir pour que tu vérifies que ce sont bien les tiennes ; hihi, c’est la procédure.
Merde je vais avoir l’air malin, s’il me demande qui c’est ?
Pas de problème, je lui dirai que c’est le mari qui viendra les chercher !rires !
Il sera peut-être étonné de ne pas voir ton visage sur les photos, mais le mien !hihi !
Ah, ben merci !je vais passer pour un cocu !
Oh , non juste pour un mec cool !
Tiens pour changer, ce soir je vais enculer ta femme ; elle est d’accord !n’est-ce pas Thérèse que tu veux bien que je t’encule ?
Elle rougit un peu ; euh si tu veux ; de toutes manières tu aimes bien m’obéir, n’est-ce pas ?
Oui Jean-Louis fait- elle en baissant la tête.
Tu aimes m’obéir ma chérie, insiste-t-il ?
Oui murmure-t-elle !
Alors tu feras tout ce que je veux ?tout ?
Oui ; souffle-t-elle !
C’est bien ; dorénavant quand tu viendras j’exige que tu ne portes plus ni soutien-gorge, ni culotte, c’est compris ?
Quel salaud je pense, tout en sentant une certaine excitation m’envahir .
Et jupe ou robe courte, genre mini de préférence , ok ?
Oui Jean –Louis répond –elle en rougissant de plus belle ;
Quand vous viendrez la prochaine fois, la première chose que tu feras sera de te trousser afin qu’on vérifie !
Mireille sourit. tu n’ as pas répondu ! dis -lui oui chéri !elle rit !je ne suis pas jalouse.
Oui chéri marmonne ma femme un peu gênée quand même en me regardant en biais !
Le lendemain quand j’ai interrogé mon épouse sur cette soirée et son obéissance , elle m’ avoué apprécier cette sensation de dépendance.
Mais tu es prête à aller jusqu’où je lui ai demandé un peu inquiet quand même ?
Je ne sais pas, mais je crois que j’ai envie de lui appartenir entièrement.
Tu l’aimes ?
Je crois que oui.
Ce week-end là il l’avait enculée sous mes yeux en me demandant de le filmer en vidéo pendant que Mireille me prenait en photo ; couleur bien—sûr avec son appareil 24/36.
La honte quand j’irai récupérer les photos !
Le week –end suivant, j’observai mon épouse qui se préparait ;assez excité de la voir toute nue enfiler un joli chemiser à fleurs par-dessus ses petits nichons, et enfiler une joli jupe plissée noire qui suivant les instructions de Jean-Louis ne lui couvrait que la moitié de ses jolies cuisses potelées ;la savoir ainsi nue sous ses vêtements me faisait un drôle d’effet.
Quand nous sommes arrivés, sa rue étant en stationnement interdit et son garage prévu pour une voiture nous dûmes nous garer sur la petite place attenante à quelques centaines de mètres de leur pavillon. Rien que lorsque ma femme descendit de la voiture sa jupe remonta et je pus admirer un instant l’ombre de ses petits poils. Ça promet je pensai.
Accueillis avec le sourire Jean-Louis regarde Thérèse : alors ?
Ma femme me regarde un moment , son joli visage un peu rosit ;elle hésite un moment, nous sommes devant la porte d’entrée, dos à la rue.
J’attends fait mon copain.
Thérèse se mordille les lèvres et, saisissant l’ourlet de sa jupette la remonte lentement.
-plus haut, allez au- dessus de la taille , qu’on voit bien tout !
Cette fois-ci Thérèse est toute rouge ; elle soulève jusqu’au ventre dévoilant son joli sexe poilu .
Tourne toi je veux voir ton gros cul ; dépêche- toi, obéit !
Ma femme se tourne fessier à l’air son gros fessier callipyge un peu cellulité. Je suis fasciné par la scène ; ma femme troussée jusqu’au ventre en pleine rue quasiment. Enfin nous entrons.
Le champagne nous attend ;il fait asseoir ma femme sur le canapé ;avec ses mains il lui fait signe d’écarter ;elle ouvre ses jambes ;saisit son appareil :clic clic ;écarte plus !au maximum, qu’on voit bien ta chatte !
Clic clic ; joli panorama, c’est bien, mais la jupe est encore un peu longue ; qu’en- penses -tu chérie dit –il à Mireille qui semble bien s’amuser ; oui tu as raison il y a au moins 10 cm de trop !rires !
J’ai une idée, si ça se trouve son chemisier descend assez bas pour lui faire une mini robe ; enlève la chérie lui lance-t-elle.
Thérèse regarde Jean-Louis, de plus en plus rouge ; je suis à la fois excité et honteux pour elle ;
Elle se lève, descend la fermeture éclair située sur le côté et tire sur la jupe qui tombe à ses pieds.
Le chemisier lui cache à peine le pubis et lui arrive au début de ses grosses fesses.
Elle est très bien comme ça je trouve fait Mireille ; on devrait faire un petit tour en soirée pour voir si ça convient.
Oh non pas comme ça balbutie ma femme !
Mais si mais si ma chérie ; oh pas en ville juste dans le quartier, il n’y a personne à cette heure-ci. Et c’est ainsi que ma femme à peine vêtue fût contrainte de faire son petit tour . on lui fit remonter la rue jusque la place ; à chaque pas le chemisier bougeait et dévoilait son cul.
A un moment trois gamins à scooter nous croisèrent, et je suis sûr qu’ils ont eu le temps de voir le cul de ma femme parce qu’ils se sont arrêtés un peu plus loin pour nous regarder partir.
Des voisins a simplement murmuré Jean-Louis avec un petit sourire ; ils essaient toujours de draguer Mireille quand je en suis pas là !hihi !
Ce soir- là ma femme se fit de nouveau enculer sous mes yeux alors que je baisais gentiment Mireille .
Avant de partir ce soir- là assez tard, Jean-Louis nous fit une curieuse recommandation : au fait si jamais Thérèse oubliait un jour de venir avec une culotte ou un sous-tif, j’ai pensé à un gage :ce serait Yanis notre fils qui lui enlèverait, d’accord ?
Oh tu déconnes ;
Mais il suffit que Thérèse vienne sans slip et soutien-gorge c’est simple ; dès que vous êtes ici rien sous la jupe et rien sous le corsage ;
D’ailleurs je préfère ça à une robe ainsi on peut lui virer sa jupe !hihi !
De retour chez nous : tu crois qu’il le ferait ?te faire déculotter par son fils ?
Oh il n’aura pas l’occasion frissonne Thérèse affolée à l’idée de se faire déculotter par un gamin.
Seulement, quelques jours plus tard on se rencontre au super-marché. Tiens vous faites vos courses aussi ?
Dis donc me fait Jean-Louis je viens de voir du champagne à moins de 10 balles la bouteille ; à un mois des fêtes, ça vaut le coup !
Oui mais encore faut- il que ce ne soit pas de la piquette.
Sûr ;il n’ y a qu’un moyen de le savoir, y gouter.
J’en prends une bouteille, on le goutte tout de suite, et s’il est correcte moi je reviens en prendre carton ; à ce prix- là il ne faut pas trop attendre.
Bonne idée, je te rejoins chez toi ; mais il ne va pas être frais.
J’ai un truc, on met la bouteille dans un seau avec plein de glaçons et on ajoute du gros sel, ça active la fonte de la glace et le champ est au poil !
Ça marche, je te suis ; et ainsi nous arrivons chez Jean-Louis et Mireille tout contents de goûter ce fameux champagne.
Nous entrons, on se met à l’aise, Jean-Louis prépare le seau avec les glaçons, ajoute deux grosses poignées de sel, y plonge la bouteille et il fait un petit clin d’œil à sa femme ; regardant Thérèse, lui murmure doucement ; au fait ma chérie, j’éspère que tu ne portes pas de culotte sous ton joli jean ?
Elle le regarde surprise par la question ; mais mais ; on n’est pas samedi !
Il rigole ; quoi, samedi ;on n’a jamais précisé que le non port du slip et du sous-tif n’était que pour le samedi ;on a dit que lorsque vous venez chez nous Thérèse ne doit pas porter de culotte ni de soutien-gorge, c’est tout ;alors ?
Et il a été convenu que si elle oubliait ce serait notre fils, Yanis qui lui enlèverait. Exact, ou non ?
Mais mais , je lance un peu affolé, ce n’était pas prévu, on est venu comme ça juste pour goûter le champagne.
Peu importe rigole Jean-Louis ce qui est dit est dit ; tu étais d’accord sur le principe, oui ou non ?
Thérèse et moi nous regardons sidérés ; tu ne vas quand –même pas faire déculotter ma femme par ton fils ? pas vraiment, tu plaisantes ?
Mais si mais si ; ça va être une expérience amusante pour lui comme pour nous vous allez voir.
Chérie, va donc chercher notre garçon, on va lui expliquer la situation.
Yanis, Yanis !!!viens voir, on a besoin de tes services mon lapin !!!!!
On entend une cavalcade dans l’escalier ; arrive Yanis, beau jeune garçon d’une douzaine d’années, blond aux yeux bleus, l’air bien dégourdi, impatient de nous rencontrer ;(le samedi jour de partouze il va au lit de bonne heure)
Bonjour !
Euh bonjour Yanis ; sur un ton plutôt morne de la part de Thérèse et de moi. Je sens une boule dans la gorge ; il l’a fait exprès ce salaud je me dis ;il savait bien que Thérèse mettait une culotte pour faire les courses.
Il commence , un grand sourire aux lèvres :
Je vais tout t’expliquer mon fils ; voilà, tu sais qu’avec Thérèse et son mari on s’amuse ensemble tous les samedis soirs ?
Oui fait le gamin, un peu gêné, je m’en dotais un peu ;et au cours de ces petites parties on avait conclu un marché avec Thérèse et son mari, une sorte de pacte ;Thérèse ne devait plus porter de sous- vêtements à chacune de ses visites chez nous.
Ah bon fait le môme, quand même surpris ; le rouge lui monte un peu aux joues.
Et pour pimenter la chose on avait décidé entre nous que si elle oubliait ce serait toi qui lui enlèverait.
A ces mots le gamin a comme un sursaut ; il regarde son père la bouche ouverte ; c’est vrai ? ou c’est une blague ?
Non, non c’est vrai, et un pacte est un pacte ;quand on a donné sa parole ,on doit s’exécuter, n’est- ce pas Bruno me lance-il en souriant.
J’avale ma salive avec difficulté sans répondre. Le môme se tourne vers moi et me scrute d’un air interrogateur ; je baisse la tête.
Il est d’accord ?
C’est ce qu’on a décidé ensemble ajoute Mireille en rigolant ; alors maintenant à toi de jouer , tu sais ce qu’on attend de toi !
Ma femme fait une dôle de tête. Elle a compris qu’elle allait se faire déculotter par un gamin de douze ans !
Le gamin , les yeux brillants, s’approche alors de ma femme qui était assise dans le canapé.
Lève- toi mas petite Thérèse lui lance Jean-Louis, ce sera plus pratique pour mon fils !
Je fais comment pour lui enlever sa culotte hésite la gamin ; elle a un jean !
Et bien commence par lui ôter son jean , ensuite tu pourras la déculotter.
Oh ! fait le môme , le visage de plus en plus empourpré.
Thérèse s’est mise debout, elle a compris que ce n’était plus la peine de discuter ;elle regard Jean-Louis avec un petit air de désapprobation ;quand –même fait elle tu exagères Jean-Louis ;elle est là debout devant la gamin qui va devoir lui enlever son jean ;il s’approche, encore un peu hésitant, avance ses mains vers la fermeture éclair du jean ;ses mains tremblent un peu, puis se décide ;il baisse la fermeture éclair, le bouton est sauté, il s’empare des bords du pantalon et tire doucement vers le bas. Mireille est déjà en train de filmer, tandis que Jean-Louis prend tranquillement des photos ; je suis subjugué par la scène, mon épouse déculotté par un mouflet ;et voilà que je me mets à bander en plus !
Il tire, ça force un peu autour des hanches de ma femme qui sont assez larges, et son gros fessier ne facilite pas la tâche, mais bientôt le jean est à ses pieds.
Fait lui lever les pieds et enlève lui complètement !
Thérèse se laisse docilement soulever les pieds pour permettre de lui ôter son pantalon ; voilà, c’est fait ;elle est en petite culotte de coton toute simple, blanche ;on devine la forme du sexe à travers le mince tissus.
Yanis semble fasciné par la jolie bosse que forme le renflement du sexe !il hésite encore .
Allez vas-y lui lance sa mère , déculotte –la !
A ces mots je me sens frissonner ;il va déculotter ma petite femme ;et ça y-est ; il pose ses mains sur l’élastique du slip le saisit et il tire dessus ;la culotte descend sur les belles cuisses pales de mon épouse couvertes de chair de poule ;on devine son trouble ;l’humiliation qu’elle dît ressentir à se faire ainsi dévêtir par un gamin de douze ans :voilà le pubis, sa touffe de poils apparaît ;il tire encore , le slip est à ses pieds ;il sait comment pratiquer maintenant :gentiment il soulèves les petits pieds de ma femme pour lui enlever complètement ;la voici avec le bas du corps nu , sa jolie petite chatte à l’air, ainsi que son gros cul sous nos yeux ,et surtout sous les yeux du môme qui semble au paradis ;il ne devait pas imaginer son mercredi à déshabiller une femme mariée devant ses parents et le mari de celle-ci !
Et maintenant au tour du soutien-gorge lui lance son père car je suppose qu’elle en porte un ; on continue !
Cette fois-ci Yanis n’hésite plus ; hardiment il s’attaque au chemisier de Thérèse ; un à un les boutons cèdent, il enlève le léger vêtement en se léchant les lèvres ;le corsage rejoint la jupe et la culotte ;il ne reste plus à Thérèse que son joli soutien-gorge blanc pigeonnant qui découvre un peu la courbe de ses seins. Attend lui dit sa mère, je vais te montrer comment on dégrafe un soutien-gorge ; elle fait faire demi-tour à ma femme qui, docile se laisse maintenant manipuler sans opposer aucune résistance ; elle se sait finir entièrement nue maintenant.
Regarde , explique Mireille à son fils, tu vois, tu pousses sur la petite agrafe dans ce sens et hop ça s’ouvre ;c’est facile ;vas-y à toi.
Le soutien-gorge est dégrafé, le gamin fait glisser les bretelles sur les épaules de ma femme, et hop la voici donc toute nue sous nos yeux ; ses petits nichons en pomme qui tombent un peu à l’air la chatte à l’air .
Jean-Louis exulte et voici notre petite Thérèse toute nue , bravo Yanis, tu t’es bien débrouillé pour ton premier déshabillage ;comment trouves –tu Thérèse, elle est toute mignonne comme ça ;elle te plait ?
Oh fait le gamin
les yeux brillants, je n’aurais jamais pensé lui faire ça un jour !je peux la prendre en photo avec mon portable papa ?
vas-y mais ne montre pas ça à n’importe qui.
Oh juste à mes meilleurs copains ;rires !!!
Je suis sidéré , je viens de voir un gamin foutre ma femme à poils, et le pire :je suis en érection ;à ma grande honte !
Bon lance Jean-Louis on va profiter de ce que Thérèse est nue pour donner un petit cours d’anatomie à notre fils, qu’en penses-tu Mireille ?
Excellente idée, mon chéri, il n’est pas mauvais qu’un garçon sache comment fonctionne une femme .
Qu’est-ce que vous allez faire, je demande inquiet ;
Oh on va lui donner un cours sur le corps de la femme, et surtout lui expliquer comment fonctionne le sexe féminin !
Puisqu’elle est toute nue autant en profiter ;allez viens ma petite Thérèse, il prend ma femme par le bras et l’entraîne dans la chambre attenante ; ouvrant la porte il lui désigne le lit ;allonge toit sur le dos et écarte bien les cuisses. Viens Yanis je vais te détailler tout ça ;
Tu vas voir ajoute Mireille ça va t’intêresser !
Ma femme s’est allongée, et écarte doucement ses belles cuisses pales.
Un peu plus, allons écartes- bien , au maximum, fait nous voir ton joli minou !rires !
Thérèse obéit et s’ouvre le plus qu’elle peut on voit déjà un peu ses lèvres s’écarter ; j’ai une boule dans la gorge le gamin lui, ce sont ses yeux qu’il ouvre grands.
Attend, fait Jean-Louis, il s’approche de ma femme lui prend les jambes et les relèvent vers son buste, prend tes chevilles dans tes mains chérie et tiens les contre toi en écartant bien. Ma femme obéit et dans cette position, on lui voit maintenant tout, le sexe rose, et même son petit trou du cul brun. Je suis soufflé. Le gamin prend photo sur photo.
On voit tout murmure –t- il d’une voix rauque ; je remarque une bien belle bosse sur sa braguette ainsi que sur celle de jean-Louis ; nous bandons !
Viens voir plus près mon garçon, approche de Thérèse, on va commencer par étudier un peu ses seins . Tu vois cette bande marron autour des pointes ce sont les aréoles, et au milieu, les petites pointes sont appelées les tétons ou tétins ; tiens prend les dans tes mains et pince un peu les bouts, tu vas voir , ils vont durcir ;le gamin pince les bouts de seins de ma femme qui pousse un tout petit cri.
C’est vrai fait le môme en continuant de pincer ses bouts ;ils sont devenus tout durs ;il rigole content de lui.
Il s’enhardit : je peux lui peloter un peu les nichons ?
Mais oui vas –y . Ses mains se mettent à malaxer les seins de ma femme ce petit salaud en profite .
Bon on va passer au bas, c’est encore plus intêressant, tu vas voir !
Oh oui je veux bien !
Père et fils se penchent entre les cuisses écartées de ma femme ;tu vois fait le père en touchent les poils de Thérèse, cela se nomme le pubis, ses petits poils ; tu peux les toucher, tu vas voir ;ils sont doux et fins ; le gamin ne se le fait pas dire deux fois et s’empresse de fourrager dans la touffe de mon épouse ;
Et la légère bosse en dessous, c’est le mont de vénus ;
Bon on passe au sexe maintenant ; tu vois les grands bouts de peau, il saisit une des grandes lèvres de Thérèse, elles s’appellent les grandes lèvres, vas-y prend les en mains ; prend les deux et écarte les ;on dirait bien une grosse moule ;il rit ;une grosse moule ouverte ;
Oui ou des ailes de papillon marmonne le gosse ; tu vois en dessous les mêmes en plus petit ; ce sont les petites lèvres ;et là au fond ce petit trou, c’est ici que Thérèse lâche son pipi !hihi oh il tout petit son trou ;et ceci est l’entrée du vagin ;vas-y plonge tes doigts dedans, tu peux en mettre au moins deux. Rires !
Oh c’est tout mouillé rigole le gosse, et tout rouge ;
Oui c’est là qu’on enfonce nos bites pour la baiser, et si c’est mouillé c’est parce –que Thérèse est excitée ; tu vois se faire tripoter et même simplement monter son intimité, comme ça, ça l’excite et ça la fait mouiller ; elle secrète un liquide appelé cyprine pour lubrifier son vagin et permettre une pénétration plus aisée ;
C’est bien foutu commente le gamin. Toutes les femmes font ça ?
Surtout les salopes comme Thérèse !
Hihi ; c’est une salope ?
Et oui !n’est-ce- pas ma jolie que tu es une salope ? allez, dis- le à mon fils !
Oui fait Thérèse d’une voix faible ;
Non dis le vraiment, dis ce que tu es !
Je suis une salope murmure Thérèse.
Oh ça alors ; je ne m’en doutais pas fait le môme un peu surpris quand même.
Bon mais maintenant regarde le plus important, le petit bout de chair ,la, la petite excroissance , la petite boule, en haut cela s’appelle le clitoris ou encore le bouton, c’est ce qui excite le plus les femmes quand on leur chatouille un. Thérèse est très sensible du bouton ; n’est-ce-pas ? ma salope rigole Jean-Louis.
Oui murmure ma femme.
Pose juste ton index dessus et caresse lui tout doucement tu vas voir sa réaction.
Humm humm laisse échapper ma femme alors que le gamin a posé son doigt sur son bouton ;
Vas-y encore un peu elle adore ça ; le gamins continue ;huuummm humm gémit Thérèse !
Maintenant tu peux lui fourrer deux ou trois doigts dans le vagin et toucher son bouton en même temps avec ton pouce, c’est ainsi que je la branle à chaque fois avant de la baiser. Et fait coulisser un peu tes doigts.
Flic floc font les doigts du môme dans le con de ma femme , et il caresse avec son pouce le clito de Thérèse qui se met à couiner doucement.
Tu vois tu es entrain de la branler et tu lui donnes déjà du plaisir, mais ce que tu fais avec tes doigts tu peux aussi le faire avec ta langue ; il fait un clin d’oeil à Mireille qui s’approche et plonge son visage entre les cuisses de ma femme , set à lui lécher le bouton avec sa langue tout en lui fourrant les doigts dans la moule.
Thérèse couine de plus belle§
Elle adore ça cette salope, se faire bouffer le cul ; pas vrai ma salope ?
Oh ouii ouiiii oh huuummmm !
Mireille se relève, elle regarde son fils ;tu dois être bien excité, non ? viens voir ; et à ma grande stupéfaction elle se met à déboutonner la braguette du gamin, fourrage un instant et lui sort sa queue, qui est de belle taille , bien raide. Approche toi , elle tient sa bite, et doucement la fourre dans le con de ma femme ; tu vois ça entre tout seul. Allez donnes lui de bons coups ; le gamin a les yeux fous il se met à lui bourrer de coups de bite en poussant des cris rauques ; je n’ai même pas eu le temps de réagir ;Yanis est en train de baiser ma femme !
Published by harrycovert1
10 months ago
Comments
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cokin62
cokin62 1 month ago
Whaouhhh super excitant !!
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putesclave
putesclave 10 months ago
C'est toujours autant de plaisir de lire vos écrits, bien que je m'imagine toujours à la place de la personne soumise
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