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Chère mère

Chère mère

Maman!... Maman!

Oui, mon chéri.

Un bouton de mon blue-jean vient de me rester dans la main.

Jean sort de sa chambre, déconfit, en tenant le bouton s sa main...
Sa mère quitte immédiatement sa cuisine.

Attends une seconde... Je prends ma trousse et je te le couds immédiatement.

Jean est un fort gaillard de *********s.

Vite, dit-il à sa mère. Je ne voudrais pas arriver en retard en classe, car
aujourd'hui, c'est notre dernière composition.

Jeanne arrive avec sa trousse. Une belle brune de trente *********. Mariée à
**********ns et veuve après deux ans de mariage, elle a, malgré les demandes
réitérées, toujours refusé de donner un second père à son fils.

Tous les deux, ils s'adorent et ne vivent que l'un pour l'autre... Jeanne s'est
agenouillée et, preste, elle défait tous les boutons de la culotte et,
l'aiguille enfilée, s'apprête à recoudre le bouton.

Soudain, un trouble étrange l'envahit, car le plat de sa main gauche, qui se
trouve dans le blue-jean, fait tout un va-et-vient à chaque aiguillée de fil
tiré et, elle commence à sentir sur le dos de sa main le sexe de son fils qui
commence à gonfler.

Furtivement, elle regarde Jean par en dessous et elle le voit aussi troublé
qu'elle et gêné en même temps. Il ne reste que deux ou trois aiguillées à
tirer, mais brusquement, c'est le déchaînement, le membre de son fils se dresse
raide dans son slip et Jeanne ne peut rien ignorer de ce sexe dressé
puisqu'elle a ouvert tout grand le pantalon.

Un peu hypocritement, elle demande: - Qu'as-tu, mon chéri ?

Rien, maman... Depuis quelque temps ça m'arrive souvent de me tendre ainsi et
ça me gêne beaucoup.

Très souvent ?

Presque tous les soirs.

Dans ton lit ?

Oui.

Et que fais-tu ?

Rien... Je la sors de mon pyjama et je la prends dans ma main en serrant bien
fort et puis ... et puis... je m'endors.

Jeanne sourit de tant d'ingénuité, qu'elle soit feinte ou réelle.

- Il me semble qu'elle est bien dure... Tu veux bien que je la regarde ?

Sans attendre la réponse de son fils, Jeanne a dégagé du slip la queue raidie
et elle n'en revient pas de sa grosseur et de sa grandeur.

Elle, qui depuis quatorze ans n'a plus eu de rapport avec un homme, ne se lasse
pas de regarder cette verge triomphante et, comme sa main ne l'a pas lâchée,
elle serre un peu et doucement, car elle n'ose pas faire sur son fils les
gestes qui, elle en est sûre, déclencheraient en quelques secondes la sortie du
sperme.

Ce sperme dont elle rêve si souvent, imaginant qu'il lui inonde le vagin ou la
gorge... Cela dépend du partenaire qu'elle imagine.

Oh! Maman... jamais elle n'a été aussi dure...'et elle continue de grossir...
Pourquoi ?

Écoute, répond Jeanne... pars à l'école, car j'ai peur que tu arrives en
retard... Ce soir, je t'expliquerai tout cela... Tu es assez grand maintenant
pour que je t'en parle... Va, mon chéri, et travaille bien.

Doucement, elle remet dans le slip la verge raidie, non sans la serrer un peu,
mais sans oser déposer un baiser sur sa tête. Elle est certaine que si sa
bouche la touche, elle ne la lâchera plus.

Elle reboutonne elle-même le blue-jean et après s'être relevée, elle embrasse
son fils sur le front avant de le accompagner jusqu'à la porte.

Lorsqu'il est parti, elle revient, pensive, au salon et s'assoit dans un
fauteuil pour réfléchir.

Que faut-il faire ? Elle rêve d'avoir un homme. Sa féminité le réclame, mais
elle ne veut personne qui puisse faire souffrir Jean... Alors ?... Peut-elle
envisager de se servir de lui ?

Elle sait qu'il l'adore et -que quoi qu'ils fassent ensemble, personne ne le
saura jamais... Faire l'amour avec Jean... Elle serait comblée, car avec le
sexe qu'il lui a montré tout à l'heure, il deviendra vite un amant
exceptionnel.

Par un enchaînement d'idées, elle en vient à penser à son mariage... Courtisée
à ********s par un garçon timide, elle a accepté de partager sa vie après *****
de fiançailles...

***** durant lequel son fiancé ne s'est jamais permis un geste déplacé... Juste
quelques baisers sur la bouche... Très tenue dans une famille où l'on ne
badinait pas, elle pensait que le mariage lui apporterait la liberté... et
l'amour.

Hélas, elle fut étrangement déçue. Elle qui comptait sur des scènes orgiaques
comme elle se les imaginait au lycée avec ses compagnes, elle n'a obtenu en
échange de sa virginité que des séances d'amour durant lesquelles son mari se
contentait de monter sur elle, de s'agiter deux ou trois fois avant de jouir.
Une seule fois, un soir que son mari plus fatigué que d'habitude la limait plus
longtemps qu'à l'accoutumée, elle a senti monter en elle une folle jouissance,
sans savoir l'extérioriser.

C'est de ce soir-là qu'elle devint enceinte... Elle accoucha et, quelques mois
plus tard, son mari toujours malade la laissait veuve. Le plus beau cadeau
qu'il lui ait fait, ce fut son fils et la fortune qui lui permirent de vivre
largement en élevant son enfant. Depuis, elle a appris à se caresser toute
seule les soirs de grande solitude et elle a appris de cette façon à bien
jouir, mais c'est tout de même incomplet...

Il lui manque, le mâle.

Jusqu'ici, elle attendait le mariage de son fils pour pouvoir se permettre de
goûter à son tour à toutes les joies de l'amour et voici qu'aujourd'hui une
autre perspective s'offre à elle... Faire l'amour avec Jean, la chair de sa
chair.. Empêcher ainsi qu'il coure les filles qui n'en valent pas la peine,
tandis qu'elle saurait si bien le rendre heureux.

En l'ayant en soi, elle croirait le porter à nouveau et quand elle le sucerait,
ce serait sa propre chair qu'elle aurait dans la bouche...

Faut-il ou ne faut-il pas?

Au souvenir de toutes ces choses, Jeanne est un peu excitée... Surtout par ce
quelle vient de tenir dans sa main.

Machinalement, une de ses mains s'est glissée sous sa jupe et remonte lentement
le long de sa cuisse. Cette main elle arrive au-dessus du bas et s'attarde à
caresser la peau satinée....

Puis, par dessus son slip, elle passe ses deux mains, cette fois entre ses
cuisses et sent son sexe brûlant.. N'y tenant plus elle fait glisser son slip
et relève très haut sa mini jupe.

Devant la grande glace de sa chambre, elle s'installe commodément afin
d'apercevoir le plus possible de son intimité ...Elle s'admire, renversée
légèrement sur son fauteuil et scrute son beau triangle noir aux poils très
épais qui cachent complètement sa fente.

Ouvrant ses cuisses un peu plus, de ses deux mains, elle écarte ses poils et
voit alors l'entrée un peu rougeâtre son vagin.

Elle est toute mouillée, car pendant qu'elle tenait dans sa main la queue
raidie de son fils, elle a failli jouir... Elle voit également ses petites
lèvres qui pendent légèrement. Elle ne trouve pas que c'est très beau, mais
estime que c'est assez excitant.

Tirant tout à fait ses poils, elle découvre alors son clitoris qu'elle trouve
de belle taille... Plus gros qu'un petit pois. Jeanne est en amour aussi
clitoridienne que vaginale, mais depuis son veuvage, ************ des choses,
elle est surtout clitoridienne.

C'est ce qui donne à son bouton cette magnifique ampleur... On dirait une
petite bite... Depuis quatorze ans, elle s'est d'ailleurs tellement masturbée,
que ce clitoris se met en érection comme une véritable verge d'homme chaque
fois qu'elle a. envie de jouir.

Et en ce moment, c'est le cas... De sa main gauche,, elle tient ses poils
écartés et de sa. main droite, après avoir mouillé son médius à sa fente, elle
se, met à titiller son clitoris, tournant son doigt en rond sur sa tête puis
redescendant jusqu'à sa vulve pour le mouiller davantage...

Sa main s'énerve et brusquement elle introduit son doigt le plus loin possible
dans son vagin en lui faisant faire un mouvement de va-et-vient comme le ferait
le membre d'un homme.... mais c'est au clitoris qu'elle revient toujours. Il
est tellement gros,.. Il bande si. bien... Elle peut le prendre entre son pouce
et son médius et le branler comme on branle un mâle.

A se regarder, elle s'excite et voit son con palpiter. Sa vulve s'ouvre et se
referme comme une bouche qui respire... La jouissance arrive et son doigt
branle de plus en plus vite son clitoris.

Enfin, elle se tend une dernière fois, puis retombe su son fauteuil en
jouissant... Elle a retiré sa main de son sexe, mais continue à le regarder
dans la glace.

Il devient tout luisant du foutre qui s'en échappe... et, avant d'avoir le
dernier spasme, elle reprend encore une fois son clitoris et se redonne la joie
de le branler à nouveau.

Puis elle reste là, inerte sur son fauteuil, les cuisses ouvertes, admirant
entre ses paupières à moitié fermées sa jolie féminité, ses cuisses splendides,
sa chatte superbe et elle se raidit une dernière fois pendant qu'elle se pose
une fois de plus la. question qui la tracasse depuis le départ de son fils:

Faut-il ou ne faut-il pas ?...........

En classe, Jean a bien travaillé. Sa composition est réussie et, à la
récréation, il descend dans la cour, encore comblé par la caresse de sa mère.
Il se demande ce qu'elle va bien lui expliquer qu'il ne sache déjà..

Les jeunes gens au jour d'aujourd'hui ne sont plus ce qu'ils étaient il y a
seulement quinze ou vingt ans... Sa mère!... Sa mère si jolie... Le mieux, sans
doute sera de faire l'innocent lorsqu'elle lui parlera.. L'idée ne lui vient
pas qu'il pourrait la " baiser ", mais il y pense tout en gagnant les
toilettes.

Elles se trouvent dans un coin reculé de la cour et sont composées par une
vingtaine de petits compartiments d'ardoises. Les plus proches sont occupées,
alors Jean gagne le fond et- il s'installe dans le dernier qui est libre...

Tout en se soulageant, il continue à rêver et comme il tient son membre en
main, dès que les dernières gouttes sont tombées, il commence tout de suite à
se raidir. Exactement comme elle se raidissait dans la main de sa si jolie
maman et soudain, tout près de lui, il entend une voix.

Alors, Jean... Tu te branles ?

Non

Vraiment

Tu me parais pourtant rudement excité. Michel, son meilleur ami, se penche
par-dessus la séparation et voit que Jean tient en main son sexe érigé. Jean
esquisse un sourire un peu confus et comme Michel est son meilleur ami, en
quelques mots il lui raconte ce qui lui est arrivé avec sa mère..

C'est terrible... Je ne fais plus que penser à ça...

C'est mal, hein ?Pourquoi.

Ma mère. Et alors...Baise la.

Oh ?

Du moment qu'elle t'a touché comme ça ,ç'est qu'elle en meurt d'envie...

.Michel eut un petit rire égrillard.

Moi... Il y a un an que je fais l'amour avec la mienne. Toi? Et depuis le jour
où nous avons commencé, autant te dire que ma queue a drôlement grossi...

Regarde. S'écartant de la porte, il montre à Jean un membre superbe, bien
décalotté avec un gland magnifique...Ce membre est tout tendu, car les
confidences de son ami l'ont terriblement excité. Tâte comme elle est dure.

Jean approche la main et prend la queue de Michel. est tout surpris d'en faire
à peine le tour. Tu dois la **** ta mère avec un engin pareil.

Oh ! Elle s'y est faite, répond Michel Lorsque nous avons commencé, je n'étai
pas aussi gros.... mais tu sais, de baiser presque tous les jours, ça
développe..

.Il rit

En ce moment, ça fait trois jours que je n'ai pas fait l'amour, car maman a ses
règles, aussi regarde comme mes couilles sont remplies.

En les sortant de son pantalon, il exhibe à Jean de magnifiques attributs en
ajoutant : Ce soir, je les vide... Viens... Sortons d'ici, car nous pourrions
nous faire pincer par le pion... Si tu veux, je vais te raconter comment c'est
arrivé.

Rengainant difficilement leurs sexes tendus, les deux jeunes gens redescendent
dans la cour.

Tu sais, commence Michel, que papa est mort dans un accident d'auto alors que
j'avais *******... Maman a eu un chagrin fou et elle a reporté tout son amour
sur moi... Or, un jeudi, il y a un an de ça, j'étais dans la baignoire. en
train de me laver... Je m'étais mis debout pour me finir et je me lavais
justement la queue... Face à la porte et à force de faire le va-et-vient de ma
bite à mes couilles avec mes mains pleines de savon, je m'étais mis à bander
comme un âne... J'en étais là de ma toilette, lorsque tout à coup, la porte de
la salle de bains s'est ouverte et maman est entrée... J'étais plutôt gêné...
Tu me vois tenant à pleine main ma verge raidie et regardant ma mère avec des
yeux ronds. Qu'est-ce qu'elle t'a dit ?

Et bien, Michel, tu t'amuses tout seul à présent ? Le jeune homme ferme à demi
les yeux comme pour mieux savourer ce souvenir, puis il ajoute:J'ai répondu'"
Non ! ", je me lavais simplement... Il faut dire que maman et moi, nous sommes
très libres l'un avec l'autre,.. Elle s'est approchée de moi et en regardant ma
queue, elle a dit: "Il me semble que tu deviens un homme, mon chéri "... Ça je
le savais. Ma queue sans être aussi longue et aussi grosse qu'aujourd'hui,
était déjà suffisamment belle pour faire loucher une jolie femme... Tu la
connais ma mère ?... Elle est belle, n'est-ce pas ?Très belle, convient Jean de
nouveau troublé au-delà de toute expression.

Ce matin-là, reprend Michel, maman portait un joli peignoir assez décolleté et
de temps en temps, quand elle bougeait, elle découvrait ses cuisses... Le
peignoir de plus était un peu transparent et en fixant bien, car j'avais baissé
les yeux, je me suis aperçu qu'elle ne portait pas de slip... Je voyais... Je
devinais plutôt ses poils châtains et à cette vue ma bite s'est redressée
encore plus...De nouveau, il ferme les yeux, puis murmure:Ça fait que maman
avait devant elle une pine dressée jusqu'au nombril et dessous des couilles que
je sentais durcir à mesure que ma queue raidissait.

Qu'est-ce qu'elle a dit ?Maman ?...

" Tu sais que je ne voudrais pas que tu t'amuses tout seul... Ce serait mauvais
pour ta santé... Et d'un autre côté, tu ne peux pas rester jusqu'à ton mariage
à regarder ta verge durcir sans rien faire "... Tout en parlant, elle l'avait
prise en main pour juger de sa raideur... Exactement comme ma mère a fait tout
à l'heure avant que je parte.- Seulement, la tienne n'a pas commencé à te
branler.

Si...

Un peu.

La mienne y a été de bon coeur et tu penses, moi qui m'étais frictionné pendant
cinq minutes... Moi qui avais vu les cuisses et la chatte de maman, je n'ai pas
pu tenir et j'ai explosé tout de suite... Un premier jet de foutre a jailli à
plus d'un mètre et le second jet n'était pas encore sorti que je sentais la
tête de mon noeud dans la bouche de aman..

.Oh!.. C'était délicieux... En me voyant jouir, elle s'était vivement baissée
et, tout en me tenant toujours fermement dans sa main, elle me suçait
avidement...

Je lui ai lâché coup sur coup cinq ou six jets... A chaque décharge, je sentais
la gorge de maman se contracter pour avaler mon sperme et pendant ce temps,
comme elle était baissée et que son peignoir s'était ouvert, j'apercevais ses
jolis petits seins dont les pointes se dressaient..

. Quand maman n'a plus senti de foutre venir, elle a dégagé ma queue de sa
bouche, mais avant de la lâcher tout à fait, avec sa langue, elle me l'a
entièrement lavée. Pour ne rien perdre.

Tu en as eu de la chance.

.En se redressant, elle m'a dit: " Michel, excuse moi... Voilà ******* que je
ne vis que pour toi, sans voir un seul homme... Aussi quand je me suis aperçue
que tu jouissais et que tout cela allait être perdu, je n'ai pas pu m'empêcher
d'en profiter... Tu me pardonnes ? ".

Qu'est-ce que tu lui as répondu ?

Tu penses que je te pardonne...

Et moi aussi, si tu le permets, je voudrais te le faire... Je n'ai jamais connu
de femmes, mais entre nous, au lycée, nous ne parlons que de ça.

Michel a un sourire avantageux.

En ce temps-là, j'étais encore naïf et maman m'a répondu : "Soit.. De toute
façon, tôt ou tard, nous en arriverons là, alors faisons-le tout de suite,
d'autant plus que je me suis passablement excitée en te suçant "...

Rejetant son peignoir, elle s'est dressée nue devant moi. Ses seins menus
étaient magnifiques et valaient ceux que nous regardons dans les magazines de
nus... Son ventre plat et poli se terminait par un chat d'un joli châtain
cendré... A sa vue, ma queue s'est remise au garde-à-vous et maman est entrée
dans le bain avec moi.

Non ? fait Jean.

Si... Et elle m'a dit: " Allonge-toi "... Je l'ai fait et elle s'est couchée
sur moi, mes jambes sous ses fesses... Elle écartait largement les cuisses pour
pouvoir les passer de chaque côté de mon corps et comme ma queue était dressée,
elle s'est amusée à la frotter contre sa chatte...

A un moment donné, elle l'a même prise à pleine main pour la diriger en dessous
de sa toison, mais l'eau nous empêchait de sentir le contact de notre peau...

Comme Michel se tait un instant,

Jean insiste

Et alors ?

Maman m'a dit: " Viens, sortons de l'eau, nous ne sommes pas bien. "

Elle a ramassé une serviette et elle m'a essuyé d'abord la queue et ensuite sa
chatte avant de me dire " Viens derrière moi. "...

Tu penses si je lui ai obéi...

Elle s'est installée, me tournant le dos et tenant la baignoire, à deux
mains... Ainsi placée elle me présentait un cul magnifique... Plus beau que
celui des plus célèbres vedettes de cinéma puis
elle m a dit: " Présente ta queue dans ma raie et glisse-la dessous."

C'est ce que j'ai fait..., et maman, poussant doucement son derrière, s'est
baissée en se-tenant toujours à la baignoire... Ma queue qui n'avait pas quitté
sa raie glissa et rencontra quelque chose de doux et d'un peu gluant... J'ai
senti alors une main saisir ma verge et la placer juste devant le bon
endroit... Maman avait glissé sa main entre ses cuisses pour m'aider... "
Pousse maintenant... Pousse. "... Tout doucement, j'ai commencé à
m'enfoncer.... Ma verge a pénétré dans le couloir humide qui me comprimait
délicieusement... " Enfonce, n'aie pas peur. "... Et j'ai poussé jusqu'à ce que
mes couilles rencontrent les fesses de ma mère... Je n'ai pas pu aller plus
loin, mais je sentais mon gland se gonfler, se gonfler et je sentais que
l'explosion qui s'était produite il y a dix minutes allait se reproduire
encore... Maman aussi l'a senti et elle
m'a dit : " Surtout ne bouge plus !Et doucement, elle s'est mise à avancer puis
à reculer... A certains moments, mon membre n'était dans son vagin que par
l'extrême pointe du gland, puis tout à coup, il se retrouvait entièrement
dedans...
Et toujours, maman me répétait: " Retiens-toi.. Ne jouis pas encore. "...
C'était bien joli de me dire ça, mais je n'y tenais plus... Ma queue, comprimée
et limée par ce va-et vient, était prête à éclater, aussi, imitant ma mère, je
me mis soudain à entrer et à sortir de plus en plus vite... Ça m'a procuré une
sensation formidable et presque tout de suite, je me suis mis à jaillir une
nouvelle fois... Comme je ne voulais pas que maman me repousse, je l'avais
ceinturée de mes deux bras et je tenais un sein dans chaque main... Un sein
dont je roulais la pointe entre mes doigts... Maman est partie aussi... J'ai
senti dans son vagin se produire des contractions qui serraient ma pine à
l'étouffer et des décontractions qui m'arrosaient complètement le gland.

Maman jouissait à son tour...

Un peu essoufflé par ce long récit, Michel pousse un soupir, puis il envoie
une tape amicale sur l'épaule de Jean : Je ne peux pas te raconter tout ce qui
s'est passé ensuite, mais depuis ce jour-là, je fais presque tous les jours
l'amour à ma mère... Sauf quand elle a ses règles, bien sûr, mais quand elle
n'est pas disponible et que j'ai envie, elle me branle ou elle me suce...
J'aime bien lui jouir dans la bouche et je crois que ça lui pliait aussi
d'avaler mon sperme... Car elle l'avale.

Il rit: Raconte tout cela à ta mère, ça pourra peut-être la décider... Tu
verras bien.
Published by jcfrmi
6 months ago
Comments
11
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J'adoooore ce genre là! mmm le côté famille m'excite trop!
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Très intéressant comme récit mmmmmmm 
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to nudemum : et c'est encore meilleur de pouvoir la prendre
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belle histoire,c'est bon de bander sur sa mère
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bien content...
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De plus en plus excitant au fil du récit.
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to Vicieux72 : c'est fait pour....
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to jcfrmi : Putain je bande fort a lire la suite !!
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to jcfrmi : Oh que oui et ca me fais toujours dresser la queue !quelles salopes !!! Hum !!
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to Vicieux72 : il en existe de très bonnes salopes
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Joli billet tres exitant !!! Ah les mamans !!!!hum!!!
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