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A toute vitesse

A toute vitesse

un plan en speed sex avec mon mec lundi entre deux portes. Il n'a que ce créneau dans la semaine. Et ça ne m'arrange pas forcément, j'ai en tout et pour tout 2h15 pour faire 80km AR et m'occuper de lui. Mais le désir est le plus fort, c'est ça ou me passer de sa queue et de ses mains sur moi, alors voilà: je sors du boulot, je fonce, je me gare chez lui et m'apprête en guêpière, bas et nuisette, aiguillonnée par cette envie qui me travaille d'être encore baisée par lui une femme. Comme sa femme. Et dès que j'entre dans son bureau, je m'agenouille: mon chou, nous n'avons pas de temps à perdre.
Je l'ai pris de court, et j'aime beaucoup: il me reçoit toujours queue dressée, mais aujourd'hui j'ai le plaisir de la voir s'ériger sous mes yeux, sous mes caresses. Et de la sentir raide et chaude dans ma main. Mes mains. Entre mes lèvres. Vas-y, Joana, au fond de ta gorge. Encore et encore.
Et bien sûr, à force de plonger ma bouche au creux de ses cuisses, moi aussi, je bande. Epais, ferme, dressé comme le sien. Toi aussi tu as une bite magnifique, me dit-il. Oui: j'aime masturber à pleine main ces deux verges, en même temps, fascinée par tant de désir viril alors que je suis travestie, dans ma lingerie fine, mes talons, et mes longs cheveux blonds. Je ferai bien durer ce plaisir, mais l'heure tourne, inexorable.
Alors je monte mon étalon, m'emmanche sa trique dans mon petit cul, et je le chevauche, sauvagement, à grands coups de reins rageurs! Et lui m'encourage: tu es belle, tu bouges trop bien, tu es incroyable. Et moi: putain que c'est bon quand tu me baises la chatte, j'en ai jamais assez, j'en aurai jamais assez, encule-moi, encule-moi mon chou. Je suis ta pute, je suis à toi, oui, ouvre-moi bien le cul que je la prenne comme il faut, oui, comme ça! Et sa verge s'enfonce en moi, mon petit cul coulisse dessus, c'est comme une bouche, comme ta bouche, me dis-tu, et moi je me perds et j'oublie l'heure, je suis tellement à ma place, en fille, enculée par mon mec...
Encore, encore, ça dure, ça vient, ça monte. Oui, vide-toi, ma chérie, donne-tout, vas-y. Et je hurle comme une insensée alors que je jouis, enculée jusqu'à la garde par ce piston énorme qui m'ouvre et m'écarte. Puis je prends ses doigts dans les miens, soumise et obéissante, Et je reçois son sperme en moi, ses cris sont ma récompense, ma validation, l’achèvement de ma transformation… l’instant est suspendu.
Et je repars, le sandwich improvisé sur le siège passager, l’oeil sur ma montre et les kilomètres, alors que les vibrations de mon corps me rappellent que oui, même pour si peu de temps, ça valait le coup !
Published by joan323232
2 months ago
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