Des mots et des cris
Trois semaines que je ne l'ai pas revu, qu'on s'est à peine, à peine parlé! Mes vacances, sa femme opérée des dents, son taf... malgré mes rencontres de la semaine passée, je me sens comme en manque. Et lorsqu'enfin nous pouvons nous voir, que oui, c'est confirmé, immédiatement je me sens à l'étroit dans mon slip. Oui, bien que je sois habillé en homme, au travail, la simple idée que je vais me trouver en femme devant lui me fait bander. Au volant, je pense à ce qui m'attend. Je me prépare, me transforme. La tension monte. Mes talons claquent, je rajuste ma jupe a carreaux gris. J'ouvre la porte. Il est là, dans son éternel fauteuil rouge. Se lève et me prend dans ses bras. Ses mots: belle, tu es belle. Ses bras m'étreignent, m'enserrent. Il met son nez dans mon coup, respire mon parfum. Et en loi toutes les digues cèdent enfin. Sa force et sa chaleur, ses baisers laissent passer sur moi une vague de désir. Dans ma tête, je suisJoana. Ses mains qui remontent la jupe sur ma croupe, m'ouvrent et me pénètrent, je les accueille. Je les voulais. Ma queue raide dans sa main: je n'attendais que ça depuis 3 semaines, tu sais.
Agenoux devant lui, qui s'est assis, je masturbe nos deux queues. Tu me dis: regarde, elles dont grosses, elles sont belles. La mienne posée sur la tienne, ton gland sous mes boules, moi dans tes bras. Je nous astique doucement. Plaisir de toucher, de cèder, de retarder le moment où je vais donner ma bouche, ma gorge, mon cul.
Ça y est, je l'ai intégralement avalée. J'ai pris le temps de la suçoter, de lècher le frein, embrasser le gland. De lui dire à quel point elle est belle, à quel point elle m'a manqué. Mais je ne peux qu'approuver de la tête, quand il me demande: tu es ma salope? Tu es ma pute. J'ai la bouche pleine, pleine de son désir. Et je caresse le mien entre mes jarretières.
Je bande trop dur, je bande trop fort quand je te suce: voilà, je me relève, je te l'offre. Pour plus d'effet, je redescends la jupe: mon érection apparaît encore plus insolente, transgressive. Tu me suces, toi aussi. Oui, suce-moi, mon grand, suce-la bien, avant de bien m'enculer. Avant de bien me la mettre, suce-moi. Mes mains caressent les cheveux courts et drus, impriment à sa tête le mouvement. Il suce bien trop bien, le plaisir monte... il faut changer, vite! Calée dans le fauteuil, je me fais baiser la bouche, caresse ses cuisses et ses fesses. J'avale son érection, mes lèvres s'ouvrent et vont à sa rencontre. Et je me touche. Dure, brûlante, jebande pour lui. Mais c'est lui qui m'interrompt: monte sur ma queue ma chérie.
Ah oui, j'y monte. Bien volontiers: j'y monte, et j'y descends! Et me sentir enfin enfilée sur la grosse bite de mon mec relègue en deuxièle zone mes aventures de la semaine passée. Comment l'expliquer, à part dire à quel point je me sens libre et sauvage, habillée en pute, la taille prise par ses mains, mes talons plantés au sol, en amazone, jambes ouvertes, queue dressée, mes mèches blondes battues par le souffle de la passion qui nous embrase? Il m'oblige à lui raconter mes cochonneries les plus récentes. Il n'en bande que plus fort! Il m'impose le récit de sa baise-marathon avec une autre que moi! Et moi aussi, malgré moi, je bande, car il ne cesse de caresser ma tige, de ses doigts d'expert. Quoi? Tu t'es même branlé en m'attendant? Mais c'est pas possible! Quelle santé!ééé
Je n'en peux plus, mais toi aussi, malgré tes plaisirs solitaires,tu flirtes avec les limites. Mes coups de reins sont précis, souples, et tu m'as déjà immobilisée, autoritaire, par deux fois. Mon grand ceinturon à boucle est fait pour ça: te donner prise sur moi. Symboliser ce lien qui me rattache à toi, le seul qui vraiment me fait jouir comme une femme. Changeons encore: je descends de mon perchoir, pose mes genoux sur le cuir rouge de ce fauteuil tant malmené. Et je te tends les fesses. Rajuste ta lingerie, je veux pouvoir la rentrer et la sortir comme tu aimes, ma belle! Oh, mais quel ange! Ou quel démon? Je remonte la maille résille, dégage le passage, oui, je sais, mon tanga, celui qui te rend fou. De grands coups de ton sexe raide viennent frapper mes fesses. J'adore! Quelle virilité! Ça bande pour moi, ça se branle pour moi, ça me frotte et me frappe avec ce chibre chaud et... pénétration. Brutale, totale. Sortie: encore, encore, mets la moi toute entière. Baise-moi. Baise-moi. Par-dessus la courbe de mon épaule , je te vois me besogner. Je t'encourage. Ta main me saisit. Je bande autant que toi. Non, non, tu vas me faire jouir! Trop tard: j'éjacule dans la main, tes doigts savent où me toucher, je jouis, mon sperme coule et moi: encule-moi mon grand, encule-moi encore! Et je finis de jouir, sous la fessée, enculée à fond par mon homme, jusqu'à la récompense qui achève tout: t'entendre dire je jouis ma chérie, je jouis en toi, prends tout dans ton cul...
Agenoux devant lui, qui s'est assis, je masturbe nos deux queues. Tu me dis: regarde, elles dont grosses, elles sont belles. La mienne posée sur la tienne, ton gland sous mes boules, moi dans tes bras. Je nous astique doucement. Plaisir de toucher, de cèder, de retarder le moment où je vais donner ma bouche, ma gorge, mon cul.
Ça y est, je l'ai intégralement avalée. J'ai pris le temps de la suçoter, de lècher le frein, embrasser le gland. De lui dire à quel point elle est belle, à quel point elle m'a manqué. Mais je ne peux qu'approuver de la tête, quand il me demande: tu es ma salope? Tu es ma pute. J'ai la bouche pleine, pleine de son désir. Et je caresse le mien entre mes jarretières.
Je bande trop dur, je bande trop fort quand je te suce: voilà, je me relève, je te l'offre. Pour plus d'effet, je redescends la jupe: mon érection apparaît encore plus insolente, transgressive. Tu me suces, toi aussi. Oui, suce-moi, mon grand, suce-la bien, avant de bien m'enculer. Avant de bien me la mettre, suce-moi. Mes mains caressent les cheveux courts et drus, impriment à sa tête le mouvement. Il suce bien trop bien, le plaisir monte... il faut changer, vite! Calée dans le fauteuil, je me fais baiser la bouche, caresse ses cuisses et ses fesses. J'avale son érection, mes lèvres s'ouvrent et vont à sa rencontre. Et je me touche. Dure, brûlante, jebande pour lui. Mais c'est lui qui m'interrompt: monte sur ma queue ma chérie.
Ah oui, j'y monte. Bien volontiers: j'y monte, et j'y descends! Et me sentir enfin enfilée sur la grosse bite de mon mec relègue en deuxièle zone mes aventures de la semaine passée. Comment l'expliquer, à part dire à quel point je me sens libre et sauvage, habillée en pute, la taille prise par ses mains, mes talons plantés au sol, en amazone, jambes ouvertes, queue dressée, mes mèches blondes battues par le souffle de la passion qui nous embrase? Il m'oblige à lui raconter mes cochonneries les plus récentes. Il n'en bande que plus fort! Il m'impose le récit de sa baise-marathon avec une autre que moi! Et moi aussi, malgré moi, je bande, car il ne cesse de caresser ma tige, de ses doigts d'expert. Quoi? Tu t'es même branlé en m'attendant? Mais c'est pas possible! Quelle santé!ééé
Je n'en peux plus, mais toi aussi, malgré tes plaisirs solitaires,tu flirtes avec les limites. Mes coups de reins sont précis, souples, et tu m'as déjà immobilisée, autoritaire, par deux fois. Mon grand ceinturon à boucle est fait pour ça: te donner prise sur moi. Symboliser ce lien qui me rattache à toi, le seul qui vraiment me fait jouir comme une femme. Changeons encore: je descends de mon perchoir, pose mes genoux sur le cuir rouge de ce fauteuil tant malmené. Et je te tends les fesses. Rajuste ta lingerie, je veux pouvoir la rentrer et la sortir comme tu aimes, ma belle! Oh, mais quel ange! Ou quel démon? Je remonte la maille résille, dégage le passage, oui, je sais, mon tanga, celui qui te rend fou. De grands coups de ton sexe raide viennent frapper mes fesses. J'adore! Quelle virilité! Ça bande pour moi, ça se branle pour moi, ça me frotte et me frappe avec ce chibre chaud et... pénétration. Brutale, totale. Sortie: encore, encore, mets la moi toute entière. Baise-moi. Baise-moi. Par-dessus la courbe de mon épaule , je te vois me besogner. Je t'encourage. Ta main me saisit. Je bande autant que toi. Non, non, tu vas me faire jouir! Trop tard: j'éjacule dans la main, tes doigts savent où me toucher, je jouis, mon sperme coule et moi: encule-moi mon grand, encule-moi encore! Et je finis de jouir, sous la fessée, enculée à fond par mon homme, jusqu'à la récompense qui achève tout: t'entendre dire je jouis ma chérie, je jouis en toi, prends tout dans ton cul...
1 month ago