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Un parfun d'autrefois.

Un parfun d'autrefois.

Légèrement vêtu en ce mois de mai magnifique, Vincent se hâtait vers l’appartement familial. Un porte-documents sous le bras, il marchait rapidement, faisant à peine attention aux passants qu’il croisait et qui flânaient en profitant du soleil déjà chaud. Arrivé chez lui, il monta quatre à quatre les escaliers, négligeant l’ascenseur, et pénétra en coup de vent dans l’appartement. Sa belle-mère lisait dans le salon. Il l’embrassa rapidement sur la joue et disparut dans sa chambre en fermant la porte à double tour. Elizabeth ne chercha pas à l’arrêter.

Elle s’habituait difficilement à l’âge des enfants de son mari. Pourtant elle avait trente-cinq ans. Déjà trente-cinq ! pensait-elle. Mais l’aînée Agnès avait vingt et un ans, Vincent dix-neuf et Isabelle dix-huit. Etre la mère de trois jeunes adultes aurait dû lui donner la conscience de sa maturité. Ce n’était pas le cas ! Lorsqu’elle se contemplait dans une glace, elle se trouvait jeune et très belle. Son corps plein et sensuel, sans excès mais avec les rondeurs qu’il faut, là où il faut, complétait un superbe visage aux yeux bleus encadré de cheveux presque noirs. Cependant elle devait gérer ce problème au quotidien car son mari, constamment en voyage d’affaires, lui laissait tout le poids de la gestion de la famille. Charles avait quinze ans de plus qu’elle. Si au début cette différence d’âge n’avait pas posé de problème, elle commençait à devenir pesante car, pris par ses affaires sans doute, il ne la touchait plus guère. Au début elle s’était posée des questions sur sa capacité à susciter ses envies. Mais dans la rue les hommes, admiratifs, se retournaient sur elle, surtout lorsqu’elle s’habillait de tenues courtes et légères qui mettaient en valeur ses jambes magnifiques, et de corsages légers qui suggéraient sa superbe poitrine laquelle n’avait nul besoin de soutien-gorge.


Au fait, pourquoi Vincent s’était-il à nouveau enfermé dans sa chambre ? Il avait pris cette habitude depuis quelques temps. Elizabeth ne s’en était pas mêlée, estimant que ce genre d’attitude n’était pas de son ressort. Elle pensait qu’à dix-neuf ans il devait avoir ses secrets intimes. Rêver à sa copine ou à une autre fille rencontrée hier ou le matin même. Evoquer son corps, ses seins, ses jambes. Peut-être même se masturber comme le font les adolescents lorsque le désir leur vient sans qu’ils puissent l’assouvir autrement…

Elizabeth ne croyait pas si bien dire, et tandis qu’elle se replongeait dans sa lecture, Vincent, à demi allongé sur son lit s’adonnait au plaisir solitaire. Il avait encore devant les yeux, l’image qui avait déclenché cette irrésistible envie de se masturber.

En sortant de ses cours, il était allé prendre un verre à la terrasse d’un café. À peine installé, il avait repéré, à quelques mètres de lui, un peu à l’intérieur et en position surélevée, une superbe fille qui discutait sans grande conviction avec un quadragénaire. Elle avait les cuisses largement découvertes par sa courte jupe plissée, et un corsage bien décolleté sur une paire de seins bronzés et pleins. Quand elle vit que Vincent la regardait avec insistance, elle se mit à croiser et décroiser les jambes. Puis elle les ouvrit carrément pour mieux s’exhiber, offrant à Vincent une vue imprenable sur un minuscule slip rouge et noir, d’où il lui semblait apercevoir quelques touffes mutines de poils noirs qui s’échappaient. Immédiatement Vincent avant senti sa verge durcir contre son ventre. Il tenta bien de croiser le regard de l’inconnue, mais celle-ci l’évitait et ne semblait préoccupée que de son verre et un peu de son compagnon de table. Ce fut ce dernier qui se leva le premier. Vincent les suivit à quelques mètres, les yeux braqués sur la croupe de la fille qui se déhanchait plus que de raison balançant sa mini plissée ce qui découvrait ses jambes jusqu’au pli de la fesse. Rien de nouveau ne se produisant, Vincent avait fini par se lasser de les suivre. Mais la vision persistait, aussi était-il rentré très vite.


Dès qu’il fut dans sa chambre il se débarrassa de son pantalon et de son slip, découvrant une verge à demi bandée et des testicules bien gonflées. Il avait une queue de bonne taille, déjà bien longue et bien grosse pour ses dix-neuf ans. Il s’allongea sur le lit, sortit d’un tiroir un cahier noir qu’il ouvrit au milieu, découvrant la photo d’un sexe de féminin photographié en gros plan. La femme écartait elle-même les poils noirs, offrant aux yeux fiévreux de Vincent une chatte rose et luisante de mouille.

Vincent prit son sexe en main. Il était déjà bandé à bloc et battait à petits coups sur le ventre du jeune homme. Sur un rythme rapide, il se mit à découvrir puis recouvrir le gland de sa gaine de peau. Son excitation montait rapidement car il identifiait l’image qu’il avait sous les yeux à celle de l’inconnue exhibitionniste. Il accéléra la cadence et se coucha sur le dos lorsqu’il sentit venir l’éjaculation. Elle vint, brutale et violente. Un long jet blanc, chaud et gluant gicla de son sexe, immédiatement suivi par d’autres qui tous vinrent maculer son torse puis son ventre. Vincent, les yeux fermés, le visage congestionné, jouissait pleinement de cette décharge. Ses lèvres laissèrent échapper une faible plainte et il serra son sexe plus fort.

Petit à petit le calme revint. Il prit un mouchoir dans la table de nuit et s’essuya, humant avec satisfaction l’odeur poivrée du sperme qui avait envahi la pièce.


Ses sens en partie assouvis, Vincent après avoir remis ses vêtements quitta sa chambre pour se rendre dans le salon où sa belle-mère était toujours plongée dans sa lecture. Bien calée dans son fauteuil, Elizabeth abandonnée avait les cuisses assez largement ouvertes. En s’installant dans le canapé en face d’elle, Vincent put apercevoir un peu du ventre d’Elisabeth ainsi qu’une ombre noire qu’il identifia comme étant le haut de sa toison pubienne.


— Apparemment elle n’a pas de slip la salope ! pensa-t-il. C’est vrai qu’elle est bien fichue! J’aimerais bien la voir à poil. Elle doit être chaude si elle n’a pas de culotte.

Cette pensée l’excitait. Très porté sur le sexe, Vincent était plutôt timide. Jusqu’à ce jour il avait vécu tous ses fantasmes dans sa tête. De ce fait il était de tempérament un peu voyeur. Il décida donc de surveiller sa belle-mère afin de la surprendre le plus possible dans son intimité et de jouir si possible de la vue des parties les excitantes de ce corps superbe.


L’idée lui vint assez vite de percer un trou dans la cloison qui séparait sa chambre de la salle de bain familiale pour observer ce qui s’y passait. Il profita d’être seul un samedi pour ce faire. Il perça la cloison derrière le miroir surplombant le lavabo et ôta le tain de la glace. Il camoufla ensuite l’ouverture avec un cadre accroché au mur de sa chambre.

Le soir suivant il était donc à son poste d’observation. Ses sœurs entrèrent l’une après l’autre sans qu’il puisse apercevoir le moindre bout de sein. Enfin vers 22 heures sa belle-mère entra et entreprit de se déshabiller. Vincent vit surgir d’un soutien-gorge arachnéen deux seins lourds et veloutés qui donnaient vraiment envie de les caresser, de les embrasser à pleine bouche. Lorsqu’elle fit glisser sa jupe, Vincent découvrit le ventre très légèrement bombé et au-dessous le pubis renflé orné d’une toison noire visiblement taillée court, et le clitoris qui pointait fièrement le bout de son nez.


— Ah ! la salope, elle ne met effectivement jamais de culotte! murmura-t-il tandis que sa main prenait possession de sa bite et commençait à la masturber doucement.

Elizabeth se campa devant la glace, dénoua ses cheveux, puis complaisamment se massa les seins dont les pointes dardèrent avec insolence vers Vincent dont l’excitation augmentait de minute en minute. Elle laissa courir ses mains sur ses flancs, sur son ventre pour descendre vers l’entre-cuisses qu’elle caressa d’un doigt léger. Cette simple caresse lui arracha un gémissement. Dieu qu’elle avait envie d’un homme. Lentement elle se frotta le clitoris tandis que son autre main caressait doucement la courbe parfaite de son sein, avant de pincer délicatement le téton qui bandait sous l’effet de la caresse et de l’excitation.

Vincent était subjugué par cette vision de sa belle-mère en train de se caresser :


— Bon sang, mais elle se branle aussi ! pensa-t-il, et sa propre main accéléra son mouvement de va-et-vient. Si elle savait que nous sommes face à face en train de nous branler…

Elizabeth ne se rendait évidemment compte de rien et continuait à se masser le clitoris et à faire pénétrer périodiquement deux doigts dans son vagin qui commençait à devenir brûlant et duquel suintait maintenant quelques gouttes de liqueur vaginale.


— Oh que c’est bon! pensait-elle, mais un bon gros paf serait bien meilleur ! Ma chatte me brûle et je suis obligée de me jouer un solo de guitare comme une collégienne. Ah! Charles tant pis pour toi, me délaisser ainsi te mènera tout droit à être cocu, car j’ai une envie folle de baiser. Le premier qui voudra de moi sera le bon.

Vincent de son côté voyait sa belle-mère se donner du plaisir, et son excitation augmentait. Brusquement il sentit venir la jute. Il s’éloigna du mur, s’allongea sur le lit, tira un mouchoir de la table de nuit, et en quelques coups de poignet acheva son œuvre. Le sperme jaillit violemment et gicla sur le corps du jeune homme jusqu’à son visage. Jamais encore il n’avait joui aussi fort.

Oubliant toute prudence il cria son plaisir. Putain que c’était bon !


— Ah la salope! cria-t-il en pensant à sa belle-mère en train de s’astiquer le clito.

Elizabeth entendit ce cri venant de la chambre de Vincent. Que se passait-il ? Elle cessa brusquement sa caresse et enfila son peignoir sans prendre la peine de le fermer. Elle sortit de la salle de bains et pénétra brusquement dans la chambre contiguë. La lumière étant éteinte, elle alluma et vit son beau-fils nu, étendu sur son lit, avec la verge et qui tressautait encore au rythme de l’éjaculation et le corps maculé de traces blanches.

Elle ferma la porte et s’approcha du lit. Elle était émue de voir cette verge à demi bandée qui portait encore au méat une grosse goutte blanche, épaisse. Mue par une intuition, elle se dirigea vers le mur, y vit le trou et comprit en un instant ce qui s’était passé.

Elle vint alors s’asseoir sur le lit près de Vincent qui reprenait pied avec la réalité, et ne se privait pas de contempler les trésors que lui dévoilait le peignoir ouvert et pour lesquels il venait de décharger tout son sperme. Un peu gêné quand même, il ne bougeait pas, attendant la suite.


— Ainsi tu as percé le mur pour me surprendre, dit Elizabeth. Et de plus tu te masturbes en regardant ta belle-mère !
— Toi aussi tu te caressais, dit Vincent, je t’ai vue !
— Oui mais moi je suis une femme ! Et toi tu es un enfant !
— Ce n’est pas vrai, j’ai 19 ans ! Et puis regardes dit-il en montrant les nombreuses traces de sperme répandues sur son corps.

C’est vrai que c’est un homme à cet âge, pensa Elizabeth. Il a déjà une belle queue ! Puis tout haut:


— Tu te masturbes souvent ?
— Oui! J’ai pas encore de copine… Mais c’est la première fois en te regardant… C’était bien bon ! ajouta-t-il en murmurant.

Emue par cette déclaration et par ce jeune corps tout neuf, Elizabeth se sentait attiré par le sexe de son beau-fils qui d’ailleurs bandait à nouveau. En effet, le jeune homme, mis en confiance par l’attitude de sa belle-mère et émoustillé par la vision de ces seins, de ce ventre, de ces cuisses largement dénudés, sentait son désir renaître.


— Et tu aimes te masturber, demanda Elizabeth avec émotion.
— Euh, oui! Quand je te vois nue et que je ne peux rien faire de mieux. Mais je préférerais faire l’amour avec une femme… Que tu es belle!…C’est avec une femme comme toi que j’aurai envie de baiser. Ce doit être merveilleux!
— Mais je suis ta mère ! s’exclama-t-elle. Ou tout au moins je la remplace !

Cette réponse était une ultime défense contre son trouble. Au fond d’elle-même elle pensait:

" Je ne peux pas faire ça avec le fils de mon mari. Pourtant je m’enfilerais volontiers cette jeune pine. Je sens que je mouille et qu’une queue bien bandée me ferait jouir très vite."

Vincent s’excitait de plus en plus. N’y tenant plus, il reprit sa verge pour se branler à nouveau.


— Non! s’écria la jeune femme sans réfléchir.

Dans le même temps sa main se posa sur celle de Vincent pour arrêter son geste. Mais celui-ci plus rapide l’avait déjà retirée, et brusquement elle eut en main cette bite déjà dure, qui se dressa encore un peu plus sous la douce caresse. Il y eut un moment de flottement pendant lequel elle hésita… Puis ses sens, ses pulsions de femme sensuelle frustrée furent les plus forts, et tout doucement elle se mit à le caresser sans plus penser à autre chose qu’à cette queue dont elle avait une envie folle.

Pour Vincent l’instant était magique mais l’excitation était trop forte. Il ne put se retenir, et sous la caresse d’une infinie douceur, il éjacula violemment, projetant du sperme sur son torse, son ventre et maculant les doigts de sa belle-mère. Il gémit, puis confus s’excusa :


— Je suis désolé… c’était trop bon !

Elizabeth sourit :


— Ce n’est rien… Attends dit-elle très émue.

La verge de Vincent n’avait pas débandé. Elizabeth était dans un état second. Ce sperme qui avait jailli comme d’une fontaine, ce sperme dont ses doigts étaient encore englués, lui avait enlevé toutes ses dernières réticences. Sans lâcher la verge, elle enjamba le jeune homme. Puis elle redressa la tige bien dure pour la présenter à l’entrée de son sexe qui mouillait abondamment et lentement elle s’empala dessus, le faisait coulisser jusqu’au fond de son vagin avec facilité, les sécrétions de leurs deux sexes rendant la pénétration onctueuse à souhait.

Vincent grogna de contentement :


— Oh Maman, c’est bon! c’est chaud! c’est doux! Je te sens bien!

Il ne l’appelait pratiquement jamais Maman. Le mot lui était venu spontanément et prenait une curieuse consonance dans la situation présente, car il ajoutait un parfum d’i****te à celui de l’adultère et de l’aventure.

Ce cri du cœur acheva de rendre la jeune femme folle de désir. Que c’était bon cette bite au plus profond d’elle. Depuis plusieurs mois Charles ne lui avait pas fait l’amour, et maintenant elle se vengeait en baisant avec son fils qui de plus l’appelait Maman. À genoux, elle montait et descendait, faisant entrer et sortir de son vagin parfaitement lubrifié la bite de son beau-fils le long duquel coulait le foutre qui suintait continuellement de son sexe.


— Ah ! Petit salaud, tu voulais baiser, et bien tiens, tiens, prends ça….Tiens, tiens, tu sens ma chatte autour de ta bite ? Tu sens mon foutre qui coule ? Tu vas encore jouir hein ? Tu vas me faire gicler ta jute dans la chatte hein ?… Qu’elle est bonne ta queue, huuuum…

Vincent était au ciel. Il sentait sa verge enserrée par ce chaud fourreau, et les mots obscènes de sa jeune belle-mère jouaient sur sa libido. Il se mit à caresser les seins qui oscillaient au rythme de son baisage. Il s’amusa quelques temps à agacer les bouts qui se dressaient fièrement. Puis il lui mit ses mains sur les fesses pour accompagner le mouvement d’Elizabeth.


— Est-ce que tu jouis, demanda-t-il, Tu aimes ma queue…Maman ?
— Oui petit salaud tu la fais bien jouir ta mère ! C’est bon quand tu me pelotes les fesses… Essayes de me mettre un doigt dans le cul… Là, oui mets-le!… Ah tu m’excites, c’est bon, ouiiii, branles-moi le cul avec ton doigt. J’aime ça, ouiiiii! Je jouiiiis…

Elizabeth avait crié les derniers mots. Son corps s’était tendu, puis elle s’était mise à trembler des pieds à la tête. Les parois de sa chatte se serraient et s’ouvraient convulsivement sur le sexe du jeune homme. Après quelques secondes d’arrêt, elle reprit sa chevauchée, ce qui eut pour effet de libérer de longues coulées de foutre qui se mirent à couler sur la verge puis sur les couilles de Vincent. Ce dernier qui avait pu résister grâce au fait qu’il avait déjà déchargé deux fois, sentit à nouveau qu’il allait éjaculer. Prenant à deux mains les hanches de sa cavalière, il lui imposa un rythme plus rapide, jusqu’à ce qu’il décharge violemment.

Elizabeth sentit la verge tressauter et le sperme gicler en elle. Un deuxième orgasme la submergea, et elle s’affala sur la poitrine de Vincent qui gémissait de plaisir. Son corps fut parcouru de secousses violentes comme des décharges électriques pendant de longues minutes.


Heureuse, elle posa ses lèvres sur celles du jeune homme, et ils échangèrent un long baiser d’amant.


— Ah, c’était bon, dit-elle, tu as bien juté. Ton sperme était chaud et épais à souhait. J’ai bien envie de lécher ce qui reste sur ta queue.

Aussitôt dit aussitôt fait. Elizabeth se retourna, présentant à son amant sa chatte inondée de leurs sécrétions mêlées, gluantes à souhait, tandis qu’elle s’emparait de la jeune bite pas tout à fait débandée et enduite du même mélange qu’elle se mit en devoir de nettoyer avec la langue. Elle commença par lécher le sexe à petits coups. Puis, ouvrant la bouche, elle enfourna la totalité de la bite. La peau lui parut d’une douceur infinie. Vincent gémit lorsque son gland encore tout sensible de l’éjaculation récente vint frotter contre le palais de sa belle-mère.


— Suces-moi la chatte! Suces-moi! gémit-elle.

Il s’exécuta, enfouissant son visage entre les cuisses ouvertes. Il colla ses lèvres sur les lèvres basses et sa langue pénétra dans le vagin pour recueillir les sécrétions gluantes de leur jouissance. Son nez frémit en sentant l’odeur musquée de l’amour, et ses coups de langue se firent plus rapides. Elizabeth gémit sous la caresse qui la fouillait. En plus il lui pelotait les fesses, et se souvenant sans doute de ce qu’elle avait réclamé précédemment, il lui mit un doigt dans l’anus. Cette nouvelle stimulation fut décisive pour la jeune femme. Sa chatte était prête à jouir. Dans sa bouche, la pine bandait à nouveau. Elle accéléra sa fellation tout en pressant doucement les testicules dans sa main. Vincent de son côté continuait à fouiller de la langue le vagin en feu, provoquant un petit bruit obscène "flip, flap, flip, flap". Ce superbe 69 dura encore quelques minutes, et ce fut Vincent qui le premier rendit les armes. Elizabeth sentit la verge se gonfler et quelques gouttes giclant du méat vinrent couler dans sa bouche. Elle avala le tout avec délices.

Vincent, en jouissant avait abandonné son gougnotage.


— Suces-moi, suces-moi! Je vais te faire boire mon foutre.

Courageusement Vincent se remit en action. Il aspira le clitoris entre ses lèvres et mordilla doucement ce bourgeon de chair tendre et chaude. Le résultat ne se fit pas attendre et un petit jet de foutre vint couler sur sa langue. Elizabeth jouit la tête posée sur le sexe de son jeune amant, tandis que celui-ci recueillait précieusement la bonne liqueur qui lui maculait les lèvres et le menton.


Plus tard, lorsqu’ils eurent repris contact avec la réalité, Elizabeth attira Vincent contre sa poitrine:


— Merci mon chéri, tu as été merveilleux. Tu sais, si quelqu’un savait ce serait un scandale bien que je ne sois pas vraiment ta mère. Gardes ça pour toi, ok ?
— Oui M’man, dit-il en plaisantant. Nous recommencerons n’est ce pas ?
— D’accord ! Je t’apprendrais plein de trucs. Ça te servira pour les copines.
— Oh ! les copines tu sais. J’en manque plutôt.
— Alors je vais m’occuper de ta sexualité mon bonhomme.

A suivre !
Published by richard048
5 years ago
Comments
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jeffdoe40
Très bonne histoire, très excitante
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SancheZ069
Nice :smile:
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et bien moi aussi parce que je me suis bien branlé en lisant ce texte bien écrit .
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richard048
Moi aussi ça m'a bien excité! Pour info ce n'est pas moi qui l'ait écrit .
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