Mes Débuts (2)
Il est revenu avec les tasses et une théière ; a servi la boisson et s’est assis à côté de moi à presque me toucher. Nous avons bu et je lui ai dit qu’il me faudrait rentrer sans tarder.
- Jean il n’est que 22h, nous sommes à une demie heure du port, nous avons le temps (et en mettant sa main sur ma cuisse) n’ai pas peur … tiens je vais te faire visiter ma modeste maison.
Il se lève et me tend la main pour m’aider à me lever. Sans la quitter il m’amène vers une porte qu’il ouvre :
- Tu vois notre maison est modeste. Mais elle est confortable. J’ai confiance en toi et je ne te cache rien. Tu es mon ami (il avait toujours ma main dans la sienne)
Nous étions dans une chambre meublée d’un lit double, d’une armoire et d’un lit de petit enfant.
- Mais tu as plusieurs enfants ?
- Oui Jean mais les grands dorment chez ma mère où ma femme vient de les amener. Pour l’instant je ne peux pas payer un loyer pour une maison plus grande et celle-ci ne se compose que de ces trois pièces. La cuisine sert aussi de salle à manger et de salle de bains.
Venant d’un milieu très modeste, cela ne me choqua pas plus que ça !
Mohamed était maintenant tout contre moi et me fit tourner vers lui en m’entourant les épaules avec son bras libre tandis que son autre main gardait toujours la mienne prisonnière.
Son visage se pencha vers le mien et il m’a embrassé sur le front, la joue, le cou, la joue près de mes lèvres … je tremblais, j’avais peur, je suais ;
Il m’a fait assoir sur le bord du lit est resté debout devant moi et sans autre forme de procès il à ouvert sa braguette et a sorti son sexe en semi érection. Pas gros, pas large, plutôt fin mais assez long, plus que le mien en tous les cas. Ce qui m’a surpris le plus c’est qu’il était circoncis, ce que je n’avais encore jamais vu, même lors des douches communes que je prenais à bord. Son gland ressortait bien au bout de la tige alors que moi j’avais un long prépuce…
- Regarde Jean, elle te plait ? Tu veux bien la caresser, après je te ramène au bateau.
Je n’ai pas bougé. J’ai fixé sa queue, sans réagir.
Il a avancé un peu plus et son sexe n’était plus qu’à une vingtaine de centimètres de mon visage. Il se caressait lentement et la bête se raidissait petit à petit. Je me suis dit que si je ne le prenais pas en main, il me la mettrait dans ma bouche …. J’ai donc avancé ma main mon prendre son sexe… chaud, doux comme de la soie, dur aussi, palpitant…. On aurait dit qu’il était vivant. Une fois de plus mes souvenirs d’enfance sont revenus au galop….
J’ai commencé des mouvements de masturbation sur ce pénis qui devenait de plus en plus dur. Je commençais à m’exciter aussi… mon partenaire avait fermé les yeux et sa respiration s’était un peu accélérée…
- Viens, lève-toi, dit-il en me tirant pas la main. Je me suis retrouvé debout devant lui et il m’a enlevé prestement ma vareuse, mon tricot rayé avant de s’attaquer aux quatre boutons de mon pantalon qui s’est retrouvé à mes pieds en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire… je n’en revenais pas. Je ne savais pas quelle attitude prendre. J’avais peur, mais j’étais aussi excité.
Il m’a poussé sur le lit, défait mes chaussures et achevé d’enlever pantalon et slip…
Je ne bandais pas vraiment, j’étais à la fois excité mais aussi apeuré, difficile de décrire ces sentiments contradictoires qui m’assaillaient à ce moment-là…
Mohamed ne perdait pas de temps ; polo, pantalon et chaussures ont rapidement été retirés.
Nous étions nus tous les deux, moi allongé en travers du lit, lui debout à me regarder avec un petit sourire.
- Mohamed, ta femme va rentrer
- Pas tout de suite… plus tard… ne t’inquiètes pas mon chéri…
Me faire appeler mon chéri par un homme inconnu il y a peu m’a fait tout bizarre, on aurait dit ma mère ….
Il s’est allongé à côté de moi et a commencé à me caresser le torse, le ventre puis mon sexe. Il l’a pris entre deux doigts pour le masturber ; l’a délaissé pour prendre mes couilles, les faire rouler entre ses doigts… ma verge commençait à réagir et à se raidir. Il s’est penché sur mon visage, m’a embrassé dans le cou, sur la joue, près des lèvres (j’ai détourné la tête pour qu’il ne puisse pas m’embrasser sur la bouche). Ses lèvres sont descendues sur mes seins, ont aspiré mes tétons avant de les mordiller déclenchant des frissons….
Sa bouche est encore descendue, et a gobé le bout de mon sexe pas encore tendu complètement. Sa main malaxait toujours mes bourses… tout était bon…. Si bon….. je me posais de moins en moins de question et ne pensais plus trop à l’heure….
Après un moment il s’est redressé sur un coude et m’a dit :
- À toi maintenant de me faire du bien.
J’ai redressé mon torse et malgré mon manque total d’expérience, j’ai fait ce qu’il m’avait fait en m’appliquant car j’avais vraiment envie de lui faire plaisir...
Mes mains ont caressé son visage puis sa poitrine, mes doigts ont joué avec ses tétons que j’ai également pincés, mes mains ont parcouru tout son corps jusqu’à l’objet convoité… il était bien raide maintenant, bien dur, le gland proéminant, le tout de couleur brune alors que j’étais blanc comme un cachet d’aspirine…
J’ai masturbé sa queue et pris ses testicules en main. Elles étaient lourdes et bien plus volumineuses que les miennes.
Pendant ce temps je me suis penché et avec ma langue j’ai agacé la pointe de ses seins, léché sa poitrine et suis remonté avec ma langue vers son cou, derrière de ses oreilles et sans être vraiment conscient ma bouche s’est collée à la sienne et nous nous sommes embrassés fougueusement. Je planais, je n’étais plus réellement là !!!!
En fait, avec le recul, et en décrivant cette scène, je pense que je me sentais fille … je ne sais pas si vous pouvez comprendre …
Il m’a fait basculer sur le dos, s’est mis sur moi et m’a embrassé à son tour… Tantôt avec douceur, tantôt avec force. Sa bite bien raide était contre mon ventre. Il bougeait légèrement son bassin pour la frotter contre moi, un liquide s’en échappait.
Il tenait mon visage entre ses mains et m’embrassait toujours, j’en perdais haleine.
Il fini par me lâcher la bouche et est descendu en me parcourant tout le corps avec sa langue jusque ma verge maintenant bien droite qu’il a pris en bouche et qu’il a sucé avec douceur en me caressant les testicules.
Avec sa main il m’a fait comprendre d’écarter les jambes ce que j’ai fait et ses doigts se sont alors glissé vers mon cul. Il a remonté sa main et m’a mis ses doigts dans ma bouche en me demandant de les sucer. Ce que j’ai fait sans réfléchir plus avant.
Mon partenaire a glissé ses doigts maintenant bien mouillés de ma salive dans ma raie culière à la recherche de mon petit trou inviolé à ce jour…
Sa bouche avait repris ma queue un instant abandonnée et la suçait, la léchait, léchait mes couilles aussi le tout pour me tenir excité mais sans me faire jouir. Sa main disponible caressait mes seins, jouait avec mes tétines très sensibles.
Derrière un doigt s’est infiltré dans mon conduit sans que j’aie vraiment mal. Ça me faisait un effet bizarre de le sentir bouger, entrer, sortir avant d’être rejoint par un second…. Je me suis laissé faire, vraiment très excité. Je n’avais jamais connu cela… et j’aimais !
Mon amant faisait maintenant tourner ses doigts à l’intérieur pour élargir mon orifice.
Jugeant que j’étais prêt et persuadé que je ne me révolterai pas, Mohamed s’est relevé m’a couché sur le ventre, tiré sur mes hanches pour relever mes fesses et a appuyé son gland à l’entrée de mon cul. Ça m’a fait mal et je lui ai fait savoir.
- Jean, pousse comme si tu voulais faire caca et tu verras ça rentrera tout seul et tu auras du plaisir.
J’ai fait ce qu’il m’a dit lui faisant confiance alors que je ne le connaissais pas une heure auparavant.
La pression de sa queue s’est faite plus importante, j’ai essayé de me relâcher, j’ai poussé comme il me l’a dit et j’ai senti la tête de son sexe me pénétrer et s’arrêter. Il a attendu pour me laisser m’habituer à cette présence puis a repris sa progression. Ça me faisait mal mais c’était très supportable.
Il s’est encore arrêté, ma caressé le dos, s’est penché pour m’embrasser dans le cou ; une de ses mains à pris mon sexe qui s’était recroquevillé et l’a malaxé en même temps que mes testicules.
Puis il m’a pris par les hanches et a poursuivi sa progression jusqu’à ce que son pubis et ses poils soient contre mes fesses. Il a attendu un peu avant de repartir en sens inverse jusqu’à ressortir… Sans attendre il est re entré jusqu’au fond d’un seul coup de rein. J’ai crié car il m’a fait mal…
Il s’est arrêté aussitôt, m’a parlé doucement m’appelant « ma chérie », me caressant, m’embrassant partout où notre position le permettait… la douleur s’est estompée et me sentant plus relaxé il a fait de petits mouvements d’aller-retour, lentement, toujours en parcourant mon corps avec ses mains et en me parlant avec douceur.
J’avais de moins en moins mal, je dirais même que je sentais un peu de plaisir… sa voix me berçait. C’était étrange quand j’y repense cinquante ans plus tard, mais sur le moment je ne me posais pas de question philosophique !
Je profitais de ces instants, de cette découverte de l’amour physique, moi qui étais puceau en arrivant…. Devant et derrière car je n’avais jamais eu de relation avec un femme et encore moins avec un homme.
Mohamed, me sentant plus réceptif a accéléré ses mouvements de pénétrations, allant bien au fond. Son torse était bien décollé de mon corps, ses mains agrippaient mes hanches fortement et il me labourait vigoureusement. Chaque fois qu’il me pénétrait, je sentais ses poils pubiens contre mes fesses, ses couilles frapper les miennes…. J’avais encore un peu mal, mais peu à peu le plaisir prenait le dessus… j’avais les épaules et la poitrine contre le couvre-lit ; le cul bien relevé. J’ai glissé une main sous moi pour me masturber… je ne bandais pas vraiment mais j’ai quand même éjaculé…
Mon amant, mon premier amant, a gémit et s’est arrêté d’un coup, bien au fond de mon conduit. Je l’ai senti se déverser en moi avant de s’écrouler sur mon dos. Nous étions en sueur. Il m’a caressé les cheveux, a tourné ma tête pour m’embrasser avec beaucoup de tendresse… baiser que je lui ai rendu…
Il est sorti et s’est allongé sur le dos. Je me suis allongé sur le côté et je l’ai regardé, j’ai caressé sa poitrine avant de descendre prendre sa queue poisseuse en main. Il me demanda de la sucer mais j’ai refusé.
Je lui ai rappelé que je devais rentrer avant minuit. Il s’est levé, nous nous sommes habillés. Il m’a conseillé de mettre mon mouchoir dans mon slip pour récupérer son sperme qui ne manquerait pas de s’écouler.
Il m’a ramené au port au pied de la coupée en me demandant de me revoir le lendemain.
Je lui ai répondu que cela ne sera pas possible car j’étais de service jusqu’au surlendemain.
Nous avons convenu qu’il viendrait me chercher à 14h...
Je suis monté à bord, confus, avec des questions plein la tête ; la première étant = es ce que je vais honorer notre prochain rendez-vous ? ….
- Jean il n’est que 22h, nous sommes à une demie heure du port, nous avons le temps (et en mettant sa main sur ma cuisse) n’ai pas peur … tiens je vais te faire visiter ma modeste maison.
Il se lève et me tend la main pour m’aider à me lever. Sans la quitter il m’amène vers une porte qu’il ouvre :
- Tu vois notre maison est modeste. Mais elle est confortable. J’ai confiance en toi et je ne te cache rien. Tu es mon ami (il avait toujours ma main dans la sienne)
Nous étions dans une chambre meublée d’un lit double, d’une armoire et d’un lit de petit enfant.
- Mais tu as plusieurs enfants ?
- Oui Jean mais les grands dorment chez ma mère où ma femme vient de les amener. Pour l’instant je ne peux pas payer un loyer pour une maison plus grande et celle-ci ne se compose que de ces trois pièces. La cuisine sert aussi de salle à manger et de salle de bains.
Venant d’un milieu très modeste, cela ne me choqua pas plus que ça !
Mohamed était maintenant tout contre moi et me fit tourner vers lui en m’entourant les épaules avec son bras libre tandis que son autre main gardait toujours la mienne prisonnière.
Son visage se pencha vers le mien et il m’a embrassé sur le front, la joue, le cou, la joue près de mes lèvres … je tremblais, j’avais peur, je suais ;
Il m’a fait assoir sur le bord du lit est resté debout devant moi et sans autre forme de procès il à ouvert sa braguette et a sorti son sexe en semi érection. Pas gros, pas large, plutôt fin mais assez long, plus que le mien en tous les cas. Ce qui m’a surpris le plus c’est qu’il était circoncis, ce que je n’avais encore jamais vu, même lors des douches communes que je prenais à bord. Son gland ressortait bien au bout de la tige alors que moi j’avais un long prépuce…
- Regarde Jean, elle te plait ? Tu veux bien la caresser, après je te ramène au bateau.
Je n’ai pas bougé. J’ai fixé sa queue, sans réagir.
Il a avancé un peu plus et son sexe n’était plus qu’à une vingtaine de centimètres de mon visage. Il se caressait lentement et la bête se raidissait petit à petit. Je me suis dit que si je ne le prenais pas en main, il me la mettrait dans ma bouche …. J’ai donc avancé ma main mon prendre son sexe… chaud, doux comme de la soie, dur aussi, palpitant…. On aurait dit qu’il était vivant. Une fois de plus mes souvenirs d’enfance sont revenus au galop….
J’ai commencé des mouvements de masturbation sur ce pénis qui devenait de plus en plus dur. Je commençais à m’exciter aussi… mon partenaire avait fermé les yeux et sa respiration s’était un peu accélérée…
- Viens, lève-toi, dit-il en me tirant pas la main. Je me suis retrouvé debout devant lui et il m’a enlevé prestement ma vareuse, mon tricot rayé avant de s’attaquer aux quatre boutons de mon pantalon qui s’est retrouvé à mes pieds en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire… je n’en revenais pas. Je ne savais pas quelle attitude prendre. J’avais peur, mais j’étais aussi excité.
Il m’a poussé sur le lit, défait mes chaussures et achevé d’enlever pantalon et slip…
Je ne bandais pas vraiment, j’étais à la fois excité mais aussi apeuré, difficile de décrire ces sentiments contradictoires qui m’assaillaient à ce moment-là…
Mohamed ne perdait pas de temps ; polo, pantalon et chaussures ont rapidement été retirés.
Nous étions nus tous les deux, moi allongé en travers du lit, lui debout à me regarder avec un petit sourire.
- Mohamed, ta femme va rentrer
- Pas tout de suite… plus tard… ne t’inquiètes pas mon chéri…
Me faire appeler mon chéri par un homme inconnu il y a peu m’a fait tout bizarre, on aurait dit ma mère ….
Il s’est allongé à côté de moi et a commencé à me caresser le torse, le ventre puis mon sexe. Il l’a pris entre deux doigts pour le masturber ; l’a délaissé pour prendre mes couilles, les faire rouler entre ses doigts… ma verge commençait à réagir et à se raidir. Il s’est penché sur mon visage, m’a embrassé dans le cou, sur la joue, près des lèvres (j’ai détourné la tête pour qu’il ne puisse pas m’embrasser sur la bouche). Ses lèvres sont descendues sur mes seins, ont aspiré mes tétons avant de les mordiller déclenchant des frissons….
Sa bouche est encore descendue, et a gobé le bout de mon sexe pas encore tendu complètement. Sa main malaxait toujours mes bourses… tout était bon…. Si bon….. je me posais de moins en moins de question et ne pensais plus trop à l’heure….
Après un moment il s’est redressé sur un coude et m’a dit :
- À toi maintenant de me faire du bien.
J’ai redressé mon torse et malgré mon manque total d’expérience, j’ai fait ce qu’il m’avait fait en m’appliquant car j’avais vraiment envie de lui faire plaisir...
Mes mains ont caressé son visage puis sa poitrine, mes doigts ont joué avec ses tétons que j’ai également pincés, mes mains ont parcouru tout son corps jusqu’à l’objet convoité… il était bien raide maintenant, bien dur, le gland proéminant, le tout de couleur brune alors que j’étais blanc comme un cachet d’aspirine…
J’ai masturbé sa queue et pris ses testicules en main. Elles étaient lourdes et bien plus volumineuses que les miennes.
Pendant ce temps je me suis penché et avec ma langue j’ai agacé la pointe de ses seins, léché sa poitrine et suis remonté avec ma langue vers son cou, derrière de ses oreilles et sans être vraiment conscient ma bouche s’est collée à la sienne et nous nous sommes embrassés fougueusement. Je planais, je n’étais plus réellement là !!!!
En fait, avec le recul, et en décrivant cette scène, je pense que je me sentais fille … je ne sais pas si vous pouvez comprendre …
Il m’a fait basculer sur le dos, s’est mis sur moi et m’a embrassé à son tour… Tantôt avec douceur, tantôt avec force. Sa bite bien raide était contre mon ventre. Il bougeait légèrement son bassin pour la frotter contre moi, un liquide s’en échappait.
Il tenait mon visage entre ses mains et m’embrassait toujours, j’en perdais haleine.
Il fini par me lâcher la bouche et est descendu en me parcourant tout le corps avec sa langue jusque ma verge maintenant bien droite qu’il a pris en bouche et qu’il a sucé avec douceur en me caressant les testicules.
Avec sa main il m’a fait comprendre d’écarter les jambes ce que j’ai fait et ses doigts se sont alors glissé vers mon cul. Il a remonté sa main et m’a mis ses doigts dans ma bouche en me demandant de les sucer. Ce que j’ai fait sans réfléchir plus avant.
Mon partenaire a glissé ses doigts maintenant bien mouillés de ma salive dans ma raie culière à la recherche de mon petit trou inviolé à ce jour…
Sa bouche avait repris ma queue un instant abandonnée et la suçait, la léchait, léchait mes couilles aussi le tout pour me tenir excité mais sans me faire jouir. Sa main disponible caressait mes seins, jouait avec mes tétines très sensibles.
Derrière un doigt s’est infiltré dans mon conduit sans que j’aie vraiment mal. Ça me faisait un effet bizarre de le sentir bouger, entrer, sortir avant d’être rejoint par un second…. Je me suis laissé faire, vraiment très excité. Je n’avais jamais connu cela… et j’aimais !
Mon amant faisait maintenant tourner ses doigts à l’intérieur pour élargir mon orifice.
Jugeant que j’étais prêt et persuadé que je ne me révolterai pas, Mohamed s’est relevé m’a couché sur le ventre, tiré sur mes hanches pour relever mes fesses et a appuyé son gland à l’entrée de mon cul. Ça m’a fait mal et je lui ai fait savoir.
- Jean, pousse comme si tu voulais faire caca et tu verras ça rentrera tout seul et tu auras du plaisir.
J’ai fait ce qu’il m’a dit lui faisant confiance alors que je ne le connaissais pas une heure auparavant.
La pression de sa queue s’est faite plus importante, j’ai essayé de me relâcher, j’ai poussé comme il me l’a dit et j’ai senti la tête de son sexe me pénétrer et s’arrêter. Il a attendu pour me laisser m’habituer à cette présence puis a repris sa progression. Ça me faisait mal mais c’était très supportable.
Il s’est encore arrêté, ma caressé le dos, s’est penché pour m’embrasser dans le cou ; une de ses mains à pris mon sexe qui s’était recroquevillé et l’a malaxé en même temps que mes testicules.
Puis il m’a pris par les hanches et a poursuivi sa progression jusqu’à ce que son pubis et ses poils soient contre mes fesses. Il a attendu un peu avant de repartir en sens inverse jusqu’à ressortir… Sans attendre il est re entré jusqu’au fond d’un seul coup de rein. J’ai crié car il m’a fait mal…
Il s’est arrêté aussitôt, m’a parlé doucement m’appelant « ma chérie », me caressant, m’embrassant partout où notre position le permettait… la douleur s’est estompée et me sentant plus relaxé il a fait de petits mouvements d’aller-retour, lentement, toujours en parcourant mon corps avec ses mains et en me parlant avec douceur.
J’avais de moins en moins mal, je dirais même que je sentais un peu de plaisir… sa voix me berçait. C’était étrange quand j’y repense cinquante ans plus tard, mais sur le moment je ne me posais pas de question philosophique !
Je profitais de ces instants, de cette découverte de l’amour physique, moi qui étais puceau en arrivant…. Devant et derrière car je n’avais jamais eu de relation avec un femme et encore moins avec un homme.
Mohamed, me sentant plus réceptif a accéléré ses mouvements de pénétrations, allant bien au fond. Son torse était bien décollé de mon corps, ses mains agrippaient mes hanches fortement et il me labourait vigoureusement. Chaque fois qu’il me pénétrait, je sentais ses poils pubiens contre mes fesses, ses couilles frapper les miennes…. J’avais encore un peu mal, mais peu à peu le plaisir prenait le dessus… j’avais les épaules et la poitrine contre le couvre-lit ; le cul bien relevé. J’ai glissé une main sous moi pour me masturber… je ne bandais pas vraiment mais j’ai quand même éjaculé…
Mon amant, mon premier amant, a gémit et s’est arrêté d’un coup, bien au fond de mon conduit. Je l’ai senti se déverser en moi avant de s’écrouler sur mon dos. Nous étions en sueur. Il m’a caressé les cheveux, a tourné ma tête pour m’embrasser avec beaucoup de tendresse… baiser que je lui ai rendu…
Il est sorti et s’est allongé sur le dos. Je me suis allongé sur le côté et je l’ai regardé, j’ai caressé sa poitrine avant de descendre prendre sa queue poisseuse en main. Il me demanda de la sucer mais j’ai refusé.
Je lui ai rappelé que je devais rentrer avant minuit. Il s’est levé, nous nous sommes habillés. Il m’a conseillé de mettre mon mouchoir dans mon slip pour récupérer son sperme qui ne manquerait pas de s’écouler.
Il m’a ramené au port au pied de la coupée en me demandant de me revoir le lendemain.
Je lui ai répondu que cela ne sera pas possible car j’étais de service jusqu’au surlendemain.
Nous avons convenu qu’il viendrait me chercher à 14h...
Je suis monté à bord, confus, avec des questions plein la tête ; la première étant = es ce que je vais honorer notre prochain rendez-vous ? ….
4 years ago